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  • 10 juin 2022
  • Par APST

La revue économique de l’APST du 1er au 10 juin 2022

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Aérien

 

Comment Air France et l’aéroport de Roissy s’organisent face aux embouteillages de l’été

 

L’été sera chaud dans les aéroports européens. Pour la première fois depuis trois ans, le trafic aérien devrait approcher et parfois même dépasser les niveaux d’avant crise . Notamment à Roissy-CDG, qui attend 90 % du trafic de l’été 2019 les jours de pointe. Les vacances de printemps ont donné un avant-goût de cette reprise, avec un trafic revenu à 86 % en mai dans les aéroports européens, selon Eurocontrol. Soit une moyenne de 27.491 vols par jour.

Cette très bonne nouvelle pour le secteur s’est accompagnée de journées cauchemardesques dans plusieurs grands aéroports, débordés par l’afflux de passagers. La situation d’Amsterdam-Schiphol, où KLM a dû annuler plus de 200 vols en mai, est un cas extrême mais pas unique. A Londres, Manchester, Dublin, Francfort ou Stockholm, des files d’attente interminables ont généré des retards en pagaille et de nombreuses annulations. Lundi dernier, un Airbus A319 d’ Easyjet a même dû décoller de Londres-Gatwick sans passager !

Le personnel qualifié manque

La cause principale est partout la même : le manque de personnel qualifié dans les aéroports et les avions, au sortir d’une crise qui s’est traduite par des dizaines de milliers départs . « Un grand nombre de personnels, mis au chômage ou partis en plan de départs volontaires ont changé de métier et ne reviendront pas, explique un responsable syndical de compagnie aérienne. Ajoutez à cela la baisse des formations aux métiers de l’aérien, un absentéisme lié au Covid encore important et l’état de fatigue des personnels en poste, et vous avez de quoi présager d’un été catastrophique à Roissy et

Pourtant, chez Air France comme chez ADP, le ton reste volontaire et même optimiste pour cet été, perçu comme celui de la reconquête. Tout au long de la crise, Air France est parvenu à maintenir une offre plus importante que celles de ses principaux concurrents. Ce sera encore le cas cet été, avec une offre presque équivalente à celle de 2019.

Jusqu’à 215.000 passagers par jour à Roissy-CDG

« Nous attendons jusqu’à 120.000 passagers sur les journées les plus chargées de juillet et août, et 100.000 par jour en pointe en juin, souligne Guy Zacklad, le directeur du hub Air France de CDG. Nous n’avons pas de grosse inquiétude, même si tout ne dépend pas que de nous », affirme-t-il.

De son côté, Paris Aéroports , qui table sur un retour à 90 % du trafic de 2019, a rouvert tous les terminaux utilisés par Air France et ses partenaires de Skyteam. Seul le terminal 1, où Air France n’est pas présent, restera fermé cet été, compensé par la réouverture du 2B. Jusqu’à présent, l’aéroport parisien a réussi à passer les premières pointes de trafic de la saison estivale sans connaître les mêmes problèmes d’engorgement que Schiphol, malgré une pointe à plus de 200.000 passagers dimanche dernier.

Air France et ADP ont anticipé la reprise

Dès janvier dernier, ADP et Air France avaient commencé à travailler sur l’hypothèse, très optimiste à l’époque, d’un retour en vol de la totalité de la flotte à l’été. « Nous avons lancé dès janvier le recrutement de quelque 300 personnes supplémentaires à Roissy-CDG, explique Guy Zacklad. Nous avons ainsi pu établir dès février la liste des effectifs. »

Air France et ADP ont aussi organisé des réunions hebdomadaires avec leurs sous-traitants. Ce qui n’a pas empêché quelques mauvaises surprises, comme la gestion désastreuse des passagers à mobilité réduite, en avril et mai. « En ce début juin, les ressources pistes sont sécurisées, de même que pour le traitement des bagages », assure le directeur du hub d’Air France.

Les « PIF » et la « PAF », habituels points noirs

Restent les points noirs habituels que sont les « PIF » et la « PAF » – les postes d’inspection filtrage des passagers à l’embarquement et la police de l’air et des frontières. « Durant la crise, une partie des policiers de la PAF ont été réaffectés ailleurs et cet été, leurs effectifs resteront inférieurs de 15 % à ceux de 2019, explique Marc Houalla, le directeur de l’aéroport de Roissy-CDG. Pour remédier à ce manque, nous misons sur une utilisation plus intensive des sas Parafe. Leur accès a été élargi à huit nationalités extra-européennes, dont les Américains et les Canadiens qui représentent 15 % à 20 % du trafic de CDG. »

Grâce à cet élargissement, 40 % des passagers de CDG peuvent désormais emprunter les sas Parafe, « contre à peine 10 % en 2019. A condition toutefois que les sas ne soient pas en panne, comme cela est encore arrivé le 1er juin. « Je ne dis pas que tout est rose, répond Marc Houalla. Mais sur les quatre dernières semaines, le temps de passage moyen à la PAF était de 20 minutes. »

Une situation encore sous contrôle

Du côté des « PIF », en revanche, le manque de personnel ne pourra être compensé par la technologie. « Nous avons passé à nos prestataires la même commande qu’en 2019, mais du fait des difficultés de recrutement et des mesures Covid, on ne sera probablement qu’à 85 % à 90 % des effectifs demandés », déplore le directeur de Roissy-CDG.

Pour tenter de gagner du temps, ADP a placé des agents dans les files d’attente, pour rappeler aux passagers les bonnes pratiques comme la nécessité de sortir les liquides des sacs. « Le taux de fouilles des sacs au PIF est passé de 12 % avant la crise à 25 % aujourd’hui », souligne Marc Houalla.

Les compagnies aériennes européennes tablent sur un été presque normal

Comment Air France a refait le plein de confiance

Mais là encore, la situation est restée sous contrôle, « avec dans 60 % des cas, un temps de passage au « PIF » compris entre 10 minutes et 20 minutes dans 50 % des cas », souligne Marc Houalla. Ce qui n’exclut pas quelques dérapages. « Nous ne sommes donc pas du tout dans les délais de Schiphol ou Heathrow, même si dans les pointes de trafic, le temps d’attente peut atteindre 30 à 45 minutes au PIF et 45 minutes à la PAF », concède Marc Houalla.

Mieux vaudra néanmoins rester prudent cet été, en arrivant largement à l’avance, notamment durant l’ultra-pointe de trafic du chassé-croisé de juillet août. « Pour un vol long-courrier, nous conseillons d’arriver 3 heures à l’avance », indique Guy Zacklad

https://www.lesechos.fr/ 07/06 2022.

 

Au bord de la faillite, SAS va-t-elle passer sous pavillon étranger ?

 

Ces investisseurs non-scandinaves ont nommé des cabinets de conseils pour faciliter un rachat de SAS. Mais leur investissement serait conditionné à une réduction des coûts et à une restructuration des finances de la compagnie aérienne basée à Stockholm et détenue aujourd’hui en partie par la Suède et la Norvège.

SAS a indiqué mardi avoir l’intention de lancer un plan de restructuration financière : d’une part, convertir quelque 20 milliards de couronnes (1,9 milliard d’euros) de dette existante et d’obligations hybrides en actions ordinaires, et d’autre part lever au moins 9,5 milliards de couronnes (904 millions d’euros) sous la forme d’une augmentation de capital.

Ce plan de restructuration financière s’ajoute au plan de réduction des coûts baptisé SAS Forward, qui vise à économiser 7,5 milliards de couronnes par an (712 millions d’euros) par le biais d’un “remaniement de la flotte” et un “recentrage” sur les vols long-courriers. Même si ses pertes se sont contractées, SAS continue à perdre de l’argent -1,5 milliard de couronnes (144 millions d’euros) sur la période février-avril 2022.

“Dans l’optique où les projets de partage de la dette, de conversion de la dette et de levée de fonds ne pouvaient être réalisés comme prévu, SAS ne serait pas en mesure de se contenter de sa structure de capital existante et de sa trésorerie actuelle, ce qui signifie que le groupe pourrait se trouver dans l’incapacité d’honorer ses échéances sur le long terme“, a annoncé la compagnie aérienne scandinave.

https://www.air-journal.fr 04/06/2022.

 

Économie

 

L’inflation va coûter 1.080 euros par an à chaque Français, a calculé « 60 millions de consommateurs »

 

Carburant pour les moyens de transport, énergie pour le foyer, produits de consommation courante… le magazine « 60 millions de consommateurs » a calculé, poste par poste, ce que vont devoir débourser les Françaises et les Français chaque mois pour « absorber la hausse générale des prix ».

Signe inquiétant pour l’économie française: la consommation des ménages, moteur traditionnel de la croissance française, a chuté de 1,5%, contre un recul de 1,3% estimé précédemment qui avait déjà surpris la plupart des économistes.

Signe inquiétant  pour l’économie française: la consommation des ménages, moteur traditionnel de la croissance française, a chuté de 1,5%, contre un recul de 1,3% estimé précédemment qui avait déjà surpris la plupart des économistes. (Crédits : MOHAMED AZAKIR)

Malgré les propos rassurants de Bruno Le Maire rappelant que l’inflation en France, malgré son niveau inédit depuis 1985, est plus faible qu’ailleurs en Europe, une étude de l’Institut national de la consommation s’est penchée sur l’effet direct de la hausse des coûts sur le portefeuille des Français.

Et le résultat est on ne peut plus parlant: selon l’Observatoire de l’inflation du magazine « 60 millions de consommateurs », dont l’institut NielsenIQ est partenaire, chaque Français devra débourser « en moyenne 90 euros de plus » chaque mois pour « absorber la hausse générale des prix ». Un simple calcul (90 x 12) montre que le coût annuel de cette hausse généralisée des prix va représenter presque un mois de salaire pour nombre de Français: 1.080 euros.

Précisément, la répartition de ce surcoût moyen de 90 euros par mois pour les ménages s’effectue ainsi: un tiers en raison de la hausse des prix de l’énergie, un tiers provenant du transport et un tiers de la hausse attendue du panier moyen en grandes surfaces.

Un calcul fondé sur les dépenses réelles des Français

Ce chiffre a été établi à partir du poids réel des dépenses en carburants, en énergie et en produits de grande consommation dans le budget des ménages, précise le magazine sur son site internet mercredi.

« Avec 20% de hausse, les carburants contraignent déjà à acquitter en moyenne 27 euros de plus par mois », tandis que les factures d’énergie, en hausse de 25%, « provoquent des prélèvements supplémentaires d’un montant moyen de 32 euros par mois ».

Enfin, la « hausse générale de 7% des produits de consommation courante, attendue cet été, entraînera une dépense supplémentaire de 30 euros par ménage chaque mois ».

Des dépenses qui varient en fonction de la composition du foyer

Ce dernier poste de dépense varie forcément en fonction de la composition du foyer, une famille payant en moyenne 38 euros de plus chaque mois, contre 21 euros pour un couple sans enfant, détaille le magazine.

L’inflation a connu une nouvelle accélération en France au mois de mai, à 5,2% sur un an, dépassant la barre des 5% pour la première fois depuis septembre 1985, selon une première estimation publiée mardi par l’Insee. La hausse des prix sur un an s’est établie à 4,8% en avril, atteignant déjà un plus haut en près de 37 ans.

https://www.latribune.fr 02/06/2022.

 

Tourisme

 

Le tourisme suisse continue à se rétablir

 

Le secteur du tourisme suisse devrait continuer en 2022 à se remettre des séquelles de la pandémie de coronavirus, malgré la guerre en Ukraine et la quasi-absence de touristes chinois.

Le retour au niveau d’avant-crise des nuitées n’est cependant pas attendu avant l’hiver 2023/2024, selon une étude du centre conjoncturel BAK Economics.

La demande en nuitées devrait croître de 2,3 millions d’unités, soit une progression de 13% cet été. Pour l’ensemble de l’année en cours, une amélioration de 7,3 millions de nuitées (26,1%) est anticipée, indique mardi l’étude du BAK Economics, réalisée pour le compte du Secrétariat à l’économie (Seco).

Pour cet été, les touristes européens et des marchés plus éloignés seront plus nombreux, tandis que davantage de Suisses iront passer leurs vacances à l’étranger. La demande indigène devrait diminuer d’environ 2 millions de nuitées (-16%).

« La plus grande impulsion de croissance viendra des Etats-Unis », indique le communiqué. En Europe, ce sont les voyageurs en provenance du Royaume-Uni qui soutiendront la demande. Ces derniers multiplieront par presque quatre leur demande en nuitées par rapport à 2021. En revanche, le nombre de touristes russes est presque tombé à zéro.

Tourisme d’affaires en souffrance

Pour l’année 2023, BAK Economics anticipe une hausse de 3,3 millions de nuitées (+9,3%), avec le retour des Chinois prévu au cours de l’été. Le niveau avant-crise quant à lui devrait être atteint lors de l’hiver 2023/2024.

Les experts du BAK Economics mettent cependant en exergue que la reprise du tourisme urbain sera plus lente que dans le reste du pays, car les villes sont plus portées par les visiteurs européens et des pays lointains. Par ailleurs, le tourisme d’affaires, qui s’est totalement effondré au plus fort de la crise sanitaire, devrait ne jamais se remettre complètement en raison des changements structurels en cours.

« BAK Economics prévoit qu’environ 15% du tourisme d’affaires sera définitivement perdu », estiment les experts.

https://www.radiolac.ch 01/06/2022.

La reprise du tourisme s’accélère

 

Selon le dernier Baromètre du tourisme mondial de l’OMT (Organisation mondiale du tourisme), le tourisme international a connu une augmentation de 182 % en glissement annuel en janvier-mars 2022, les destinations du monde entier ayant reçu quelque 117 millions d’arrivées internationales, contre 41 millions au premier trimestre 2021. Sur les 76 millions d’arrivées internationales supplémentaires au cours des trois premiers mois, quelque 47 millions ont été enregistrées en mars, ce qui montre que la reprise s’accélère, souligne organisation internationale.

Les données de l’OMT montrent qu’au cours du premier trimestre de 2022, l’Europe a accueilli près de quatre fois plus d’arrivées internationales (+280 %) qu’au cours du premier trimestre de 2021, les résultats étant portés par une forte demande intrarégionale.

Dans les Amériques, les arrivées ont plus que doublé (+117 %) au cours des mêmes trois mois. Cependant, les arrivées en Europe et dans les Amériques sont restées respectivement 43 % et 46 % en dessous des niveaux de 2019.

https://www.capital.fr 06/06/2022.

Le retour des clientèles internationales se confirme

 

Alors que la saison monte en charge, avec une fréquentation au rendez-vous, les signaux, qu’ils viennent d’Ukraine ou des tensions inflationnistes, ne sont pas tous de nature à entretenir l’optimisme des opérateurs. A mettre du côté positif néanmoins : la reprise du tourisme international, qui se confirme et se rapproche des niveaux de 2019, avec notamment un rebond très significatif de Paris, d’après la dernière note de conjoncture d’Atout France. Les recettes du tourisme international s’établissent ainsi en mars 2022 à 4 Md€, soit -4% seulement du niveau pré-pandémique. Les recettes des clientèles européennes (Belgique, Suisse, Pays-Bas ou encore Royaume- Uni) ou des USA sont également à leur niveau d’avant crise, voire les dépassent alors que les flux en provenance de Chine ou du Japon sont toujours très faibles. Le marché domestique reste par ailleurs très bien orienté générant un volume de nuitées en France quasiment au même niveau que celui de 2019 (-4,8%) sur le premier trimestre. Pour la saison estivale, les intentions de voyages confirment le fort besoin de vacances de la clientèle domestique et des clientèles européennes qui font de la France une destination privilégiée.

Dans ce panorama positif, plusieurs points de vigilance sont néanmoins relevés par Atout France. Ce sont d’abord des difficultés de recrutement, bien présentes dans les priorités des opérateurs, qui pourraient impacter l’offre cet été, et les performances. L’inflation et le pouvoir d’achat, au cœur des inquiétudes, du côté des clientèles comme de ceux qui les servent, risquent eux aussi, rappelle Atout France, d’influer sur les comportements de consommation, de mobilité et de choix de destination des clientèles. C’est aussi, à plus moyen terme, la question de l’acceptabilité du tourisme, en particulier l’essor des locations C2C, et ses effets induits sur les prix de l’immobilier, qui pourrait se poser avec plus d’acuité pour Atout France ; mais aussi celle d’attentes qui se précisent sur le tourisme durable, avec derrière des enjeux de fond sur les parcours-clients et l’offre de séjours.

https://www.neorestauration.com 08/06/2022.

Japon : les touristes étrangers ont une longue liste de directives à respecter

 

Le Japon rouvre enfin ses portes aux touristes. A condition de respecter un processus très strict pour y entrer. A partir de vendredi 10 juin, le pays va permettre aux étrangers en vacances de revenir visiter ses villes et ses îles.

Mais alors que la pandémie de Covid-19 n’est toujours pas éteinte, l’Agence japonaise du tourisme a diffusé des directives à suivre pour ceux qui souhaitent s’y rendre. Ainsi, un touriste ne pourra entrer dans le pays que s’il fait partie d’un groupe dont le séjour est organisé par une agence de voyage japonaise ou un organisme local, détaille Nikkei Asia.

Les voyageurs seront obligés de garder un masque durant tout le temps de leur séjour. Le ministère de la Santé a néanmoins précisé que la protection pourra être retirée si les personnes réduisent au minimum leurs conversations sur les sites touristiques et si un écart de deux mètres est respecté en intérieur.

Ils devront également souscrire une assurance mise en place pour le Covid-19, qui devra couvrir d’éventuels frais médicaux liés à la maladie. Ils seront accompagnés de leur arrivée à leur départ par un guide de l’agence de voyage, qui devra veiller au bon respect des règles. Celui-ci sera aussi en charge de tenir un registre des activités effectuées par le groupe de touristes, «pour bien identifier l’étendue des contacts proches en cas de cas positifs», avertit l’Agence japonaise.

Dernier aspect important, les voyageurs autorisés à venir au Japon doivent provenir de pays et régions du monde classés « bleus » par les autorités nippones (au nombre de 98 à ce jour). La France en fait partie, comme la Corée du Sud ou la Chine. Cela leur permet d’être exemptés de tests à leur arrivée et d’éviter un placement en quarantaine, peu importe leur statut vaccinal. Il leur faudra cependant présenter un dépistage négatif au Covid-19 de moins de trois jours avant d’embarquer dans l’avion.

https://www.cnews.fr/08/06/2022.

 

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