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  • 22 novembre 2021
  • Par APST

La revue de presse économique APST du 10 au 20 novembre 2021

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Aérien

 

Air France-KLM, IAG, Lufthansa, Delta, United, American…, la bataille de l’Atlantique reprend.

Les compagnies européennes et américaines sont dans les starting-blocks. Ce lundi, avec la réouverture des frontières américaines fermées depuis dix-huit mois, elles pourront transporter les passagers vaccinés sur l’axe transatlantique. Un soulagement pour les transporteurs, notamment européens, comme Air France-KLM, Lufthansa, British Airways.. Pour elles, l’Amérique du Nord représentait avant-crise une grande partie de leur chiffre d’affaires (20% pour Air France-KLM, beaucoup plus encore pour IAG) et beaucoup plus en termes de rentabilité.

L’attente des voyageurs est forte. Dès l’annonce de Washington de l’ouverture des frontières le 21 septembre, les réservations de billets d’avion avaient bondi. British Airways a ainsi vu les recherches de vols et séjours vers certaines villes américaines exploser de 900% pour les jours précédant Noël, par rapport à la semaine avant l’annonce du gouvernement américain. Chez American Airlines, les réservations ont, le lendemain de l’annonce, bondi de 66% vers le Royaume-Uni, 40% vers l’Europe et 74% pour le Brésil.

Une reprise du trafic qui permet de mieux remplir les avions mais aussi d’augmenter la capacité. Anne Rigail, directrice générale d’Air France, prévoit de revenir d’ici mars 2022 à 90% de ses capacités d’avant-Covid sur les États-Unis, contre 65% en octobre. Air France compte proposer cet hiver 122 vols hebdomadaires vers ce pays, contre 95 actuellement. .

Autre point positif, cette augmentation des vols vers les États-Unis va également permettre de reconstruire leur réseau court et moyen-courrier des compagnies de hub. En effet, avec la chute des vols long-courriers, celles-ci ont dû réduire tous les vols d’alimentation de passagers vers les hubs.

La bataille transatlantique sera rude, l’Atlantique Nord étant « un axe très concurrentiel » sur lequel « tous les concurrents vont également augmenter leurs capacités », a indiqué Anne Rigail à l’AFP. En effet, outre la présence des autres compagnies françaises, French Bee et La Compagnie, Air France devra composer avec ses rivales européennes et américaines. Chez United par exemple, le programme des vols vers l’Amérique latine et ses destinations touristiques, est déjà revenu aux niveaux de 2019, mais son planning à l’international reste à 63% seulement. La compagnie américaine mise gros sur les vols transatlantiques.

Au-delà des États-Unis, les compagnies européennes peuvent se réjouir de l’annonce de plusieurs pays asiatiques de rouvrir leurs frontières comme la Thaïlande.

https://www.latribune.fr 07/11/2021.

 

Pourquoi le prix de vos billets d’avion va bientôt augmenter ?

La hausse du prix du pétrole pourrait faire gonfler le montant du billet d’avion dans les prochains mois.

La hausse importante des prix du pétrole se répercute sur le prix des billets d’avions. Voici ce à quoi vous devez vous attendre.

Votre place dans l’avion pourrait bien vous coûter plus cher. En effet, la hausse du prix du pétrole va se répercuter sur celle du prix des billets d’avion, comme l’a a annoncé l’Association du transport aérien international (IATA).

Qu’est-ce qui justifie cette hausse ?

Avec la crise sanitaire, les compagnies aériennes ne pourront pas compenser la hausse du coût du kérosène car « elles ont subi d’énormes pertes au cours des derniers mois » en raison de la pandémie de Covid-19, a justifié cette semaine le directeur général de l’Iata, Willie Walsh, lors d’une téléconférence de presse, comme le rapporte L’Express.

D’énormes pertes subies ces derniers mois

L’Iata fait état d’un « rebond modéré » du trafic aérien en septembre, celui-ci étant en baisse de 53,4 % par rapport à son niveau de septembre 2019, contre une baisse de 56 % d’août 2019 à août 2021. La baisse était en septembre de 69 % en Asie, 50 % en Europe et 30,5 % en Amérique du Nord, toujours sur deux ans. Par activité, les vols intérieurs continuent leur reprise (- 24 % sur deux ans), mais l’international reste plombé (- 69 %), détaille Capital.

Les levées des interdictions de voyager ont été « plus lentes que ce que nous voudrions voir et plus lentes par rapport à ce que nous pensons que la science permettrait », a noté Willie Walsh, le directeur général de l’Association du transport aérien international chez nos confrères.

Quelles sont les compagnies qui seront les plus impactées ?

Nos confrères précisent que le coût du carburant représente 20 % du prix d’un billet. Cela peut aller jusqu’à 35 % pour une compagnie low cost. Celles-ci seront donc les plus impactées par une hausse du prix du pétrole.

Quand cette hausse sera-t-elle effective ?

Actuellement, les grandes compagnies écoulent leurs stocks achetés l’an dernier. La hausse des prix devrait donc se répercuter début 2022 pour le consommateur.

Les spécialistes espèrent en tout cas que cette augmentation des tarifs aériens ne cassera pas la dynamique de reprise attendue dans les prochains mois.

Actuellement, vous pouvez toujours bénéficier de tarifs bon marché pour vos billets d’avion En cause : la chute des prix du pétrole pendant le Covid-19 et une volonté des compagnies d’éviter les images de sièges vides.

https://www.midilibre.fr/ 16/11/2021.

 

Quand Air France-KLM doit encore se recapitaliser, Lufthansa finit de rembourser les aides de l’État allemand.

Lufthansa vient de frapper un grand coup pour son redressement. Le groupe allemand a annoncé, le 12 novembre, avoir remboursé l’intégralité des sommes que lui avait versées l’État fédéral d’Allemagne pour lui permettre de surmonter l’effondrement du transport aérien en 2020. Le groupe retrouve donc sa liberté stratégique, notamment pour réaliser des opérations capitalistiques significatives, et reprend ses distances avec Air France-KLM.

(…)

En juin 2020, le groupe Lufthansa avait obtenu du gouvernement fédéral allemand, via le Fonds de stabilisation économique (ESF), un paquet d’aides et de prêts à hauteur de 9 milliards d’euros. Il n’en aura finalement utilisé que 3,8 milliards, annulant ainsi le reste à tirer. Ce montant inclut 306 millions d’euros investis par l’ESF dans le capital de Lufthansa, avec une prise de participation à hauteur de 20 %.

Pour rembourser l’État, Lufthansa s’est largement appuyé sur l’ouverture des marchés de capitaux avec plusieurs émissions d’obligations d’entreprise depuis fin 2020 : 1 milliard d’euros en novembre 2020 (plus 600 millions d’euros d’obligations convertibles), 1,6 milliard en février 2021, 1 milliard en juillet et finalement 1,5 milliard il y a quelques jours. Il faut y ajouter une augmentation de capital de 2,2 milliards d’euros en octobre, soit un total de près de 8 milliards d’euros levés en un an.

En dépit de la crise du transport aérien, le groupe allemand a donc su se montrer attractif sur les marchés et attirer des capitaux. Les mesures d’économies rapides ont contribué à cette attractivité dès fin 2020. Lufthansa revendique actuellement l’implémentation de réductions de coûts de l’ordre de 2,5 milliards d’euros annuels, dont la suppression de près de 30 000 postes. La bonne tenue du trafic cet été, avec une génération de cash, a aussi contribué à renforcer ses positions.

Cela lui permis de rembourser 1 milliard d’euros à la banque publique KfW dès février, puis une première tranche de 1,5 milliard à l’ESF en octobre et enfin 1 dernier milliard en novembre. Soit 3,5 milliards d’euros sur 3,8 milliards.

Certes, ce remboursement des aides étatiques ne permet pas au groupe de se désendetter, et le niveau de dette nette reste élevé. Il était de l’ordre de 9 milliards d’euros fin septembre. Mais, comme le note un analyste, ce transfert vers les marchés de capitaux permet à Lufthansa de disposer de taux bien plus abordables que ceux des supports étatiques. Ces derniers étaient de 4 % en 2020 et 2021, et devaient s’accroître par la suite.

La dernière étape du désengagement de l’État allemand sera la vente par l’ESF de la participation qu’il détient encore dans le capital de Lufthansa. Le fonds s’est déjà défait de 6 % en août et il a désormais jusqu’en octobre 2023 pour écouler les 14 % restants.

Avec ce remboursement, Lufthansa s’affranchit également des contreparties exigées par l’État allemand et surtout la Commission européenne. Bruxelles interdisait ainsi au groupe toute opération capitalistique d’envergure tant qu’il n’avait pas remboursé 75 % des sommes étatiques perçues. Aucune opération n’est en vue à court terme, mais Carsten Spohr avait prévenu que les mouvements pourraient s’accélérer à partir de 2022, une fois la période « d’hibernation » passée. La remise en ligne d’importantes capacités l’an prochain va nécessiter pour les compagnies de brûler à nouveau du cash et donc ouvrir des opportunités.

Lufthansa pourra alors disposer des produits de ces éventuelles cessions pour réduire sa dette et préparer de nouveaux investissements. Le groupe allemand réfléchit actuellement à valoriser sa branche de maintenance Lufthansa Technik soit par une cession partielle à un investisseur financier ou industriel, soit par une cotation. La décision sera prise d’ici la fin de l’année, en vue d’une opération l’an prochain. Le groupe étudie également la cession de sa filiale de catering LSG et de sa plateforme de gestion de voyages d’affaires Airplus. Toujours selon un analyste, cela pourrait générer des rentrées de liquidités de l’ordre de deux à trois milliards d’euros l’an prochain.

Lufthansa remet donc de la distance avec Air France-KLM. Après avoir été tous deux dépendants des aides d’État pendant la crise, les deux groupes ne sont plus sur une marche d’égalité. Malgré un été positif, le groupe français n’a toujours pas remboursé les aides étatiques reçues et reste donc limité dans ses marges de manœuvre. Il s’est certes désendetté de 3 milliards d’euros depuis le début de l’année, mais cela tient essentiellement à l’augmentation de capital largement portée par l’État français et à la conversion du prêt direct de ce dernier en quasi-fonds propres perpétuels.

Alors que Lufthansa n’est plus dépendant de l’État allemand et se finance désormais entièrement sur les marchés, Air France-KLM va devoir passer par une nouvelle recapitalisation avant de pouvoir espérer faire de même.

https://www.latribune.fr/ 13/11/2021.

 

Tourisme

 

Tourisme en Europe : pas de retour à la normale avant 2024.

Les voyageurs sont bien de retour en Europe grâce à un taux de vaccination contre le Covid-19 élevé mais l’industrie du tourisme est loin de renouer avec les chiffres de 2019, c’est à dire d’avant la pandémie. C’est ce qu’indique le dernier rapport de la Commission européenne du tourisme. La clientèle internationale fait son retour mais très lentement.

Ainsi, malgré un fort rebond estival, d’ici la fin de l’année, les arrivées de touristes internationaux en Europe devraient être inférieures de 60 % à celles de 2019. Et le retour à la normal n’est pas prévu avant 20 24. Pour permettre une pleine reprise de l’activité, les efforts de vaccination ne seront pas suffisants affirme l’instance qui réclame une plus grande liberté de circulation.

Parmi les pays qui tirent leur épingle du jeu, la Grèce a bénéficié d’un rebond spectaculaire, avec des nuitées en baisse de seulement 19 % par rapport à 2019. La plus forte reprise des arrivées touristiques étrangères se situe du côté de la Croatie.

https://fr.euronews.com 10/11/2021.

 

L’Inde rouvre lundi ses frontières aux touristes.

L’Inde rouvre lundi ses frontières aux touristes étrangers venant de pays ayant des accords de réciprocité, après avoir fermé ses portes en mars 2020 du fait de la pandémie de Covid-19.

L’Inde se prépare à accueillir des touristes après la fermeture de ses frontières due à la pandémie de Covid-19 pendant 20 mois. Dès ce lundi, il sera possible de se rendre dans le pays. Les tour operators estiment cependant que la demande reste très faible à cause du prix des billets et des restrictions toujours en vigueur pour les voyageurs venant de l’Union européenne, du Royaume-Uni, de Chine et d’autres pays.

Le pays célèbre pour son Taj Mahal, ses palais dans le désert et ses réserves de tigres a fermé ses portes aux touristes étrangers en mars 2020. Mais après un pic dévastateur au printemps, le nombre de contaminations a fortement diminué et le gouvernement, sous la pression du secteur essentiel pour l’économie, a annoncé un assouplissement le mois dernier.

Une reprise « à plein » en octobre 2022

Dès le 15 octobre, des visas de tourisme étaient délivrés pour des étrangers entièrement vaccinés arrivant par vols charters depuis des pays offrant une réciprocité. Cette ouverture a été élargie lundi aux vols commerciaux.

Les visiteurs venant des pays éligibles peuvent demander en ligne un visa de tourisme et doivent seulement surveiller leur état de santé pendant 15 jours après leur arrivée. Mais les voyageurs venant de l’Union européenne, du Royaume-Uni, de Chine, du Brésil, d’Afrique du Sud et d’autres pays sont sujets à d’autres mesures dont des tests Covid à l’arrivée. Le premier demi-million de visas était également gratuit.

Rajeev Mehra, président de l’Association indienne des tour operators, estiment que les arrivées ne devraient représenter dans le premier mois que 5% des niveaux pré-pandémie.

« Nous recevons des demandes de renseignements et nous leur envoyons des devis, mais lorsqu’ils voient les tarifs aériens élevés, ils nous disent qu’ils essaieront de venir plus tard », a expliqué M. Mehra à l’AFP.

« Si les choses restent stables à l’échelle mondiale, nous nous attendons à une reprise à plein pendant la saison d’octobre 2022 ».

https://www.bfmtv.com 15/11/2021.

 

Julien Buot, spécialiste du tourisme écoresponsable : « Il faut refaire du voyage quelque chose d’exceptionnel »

Relancé par la pandémie de Covid-19, un tourisme plus respectueux de l’environnement et des populations gagne du terrain. Directeur de l’association et du label de voyagistes Agir pour un tourisme responsable, Julien Buot explique pourquoi il est urgent de voyager moins mais mieux.

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Après de longs mois de privation, les Français ont redécouvert cet été le plaisir de voyager. Mais à l’heure où le tourisme retrouve des couleurs, l’urgence liée au réchauffement climatique impose aux professionnels comme aux clients, d’adopter des comportements plus écoresponsables. Explications de Julien Buot, directeur de l’association de voyagistes Agir pour un tourisme responsable.

 

Madame Figaro.- En quoi consiste le tourisme responsable dont on entend de plus en plus parler ?

Julien Buot.- Cela consiste à préserver les ressources. Pour que le tourisme perdure, il faut que les destinations continuent à être attractives en termes de qualité des paysages, et de qualité environnementale. Sur le plan économique et social, il faut faire en sorte que les gens continuent d’être accueillants et donc, qu’ils soient associés au développement touristique, dont ils doivent être aussi bénéficiaires. C’est un intérêt bien compris de toutes les parties prenantes, y compris des voyageurs, que de faire attention à ce que l’on puisse continuer à voyager demain. Il faut donc être responsable pour que ce soit durable et que cela reste accessible au plus grand nombre.

Est-ce que «voyager durable», c’est voyager moins souvent, moins loin ou avec moins de confort ?

Sans parler de décroissance, nous défendons l’idée de voyager mieux. Ça peut vouloir dire voyager moins souvent, moins loin ou plus longtemps. Cela n’empêche pas d’aller à l’autre bout du monde, mais avec des tour operateurs qui ont optimisé leur impact, et qui garantissent que le voyage proposé sera extraordinaire en termes d’expérience vécue pour le client. Il y aura toujours des impacts négatifs, notamment celui du bilan carbone, mais on peut corriger ces vices, par exemple via le financement de programmes de solidarité climatique et de contribution carbone. Plutôt que de faire une course à la consommation d’expériences, il faut refaire du voyage quelque chose d’exceptionnel.

Est-ce que les consommateurs vous semblent prêts à cette nouvelle philosophie du voyage ?

Selon un sondage Ifop d’avril 2021 sur les Français et le tourisme durable, 80% des sondés pensent que c’est aux professionnels de s’engager sur la réduction de l’impact environnemental du tourisme. 61% déclarent aussi que la préservation de la nature est devenue une préoccupation plus importante depuis la crise du Covid-19. Cela démontre qu’il y a eu un effet Covid dans la prise de conscience, et qu’il est urgent de penser ses vacances autrement. En 2016, nous avions réalisé un sondage sur 7000 de nos clients qui démontrait déjà une certaine maturité sur ce sujet. Globalement, pour la majorité d’entre eux, le tourisme responsable est associé à de meilleures vacances.

« Le serment islandais »

Existe-t-il des destinations plus vertueuses que d’autres ?

Oui, tout à fait. Je pense notamment à l’Islande, où le tourisme a explosé ces dix dernières années. Il y a cinq ans, ils ont pris une mesure intéressante appelée le « serment islandais». Ce dernier consiste à sensibiliser le visiteur en lui demandant de prêter serment et de s’engager à adopter un certain nombre de gestes écologiques. Depuis on a constaté que d’autres destinations ont pris ce virage-là, comme la Nouvelle-Zélande et certaines îles en Indonésie.

Quelles sont les tendances du voyage à l’ère post-Covid ?

Avec la pandémie, iI y a eu une relocalisation des destinations, avec les voyages de proximité. Mais cette tendance relève surtout des contraintes imposées par le Covid-19. Cela a permis aux consommateurs de vivre de très belles expériences près de chez eux. En tant que professionnels, nous sommes assez réservés sur cette vague de la relocalisation. Toutefois si on veut que demain, le voyage lointain devienne 100% responsable et exceptionnel, on ne pourra pas y couper. Les gens ne vont pas se contenter de voyager tous les trois ou cinq ans, il faudra bien ponctuer ces séjours au bout du monde, de petites expériences de proximité. Le développement et l’ancrage local des entreprises du voyage, c’est aussi ça le tourisme responsable.

Votre association est à l’origine de la Charte éthique du voyageur. Contrairement à ce que l’on imagine, ses principes sont assez peu de contraignants pour les touristes. Pourquoi ?

Même si le voyageur pense que sa responsabilité est limitée, il est bien un acteur de cet engagement, principalement au travers de ses comportements vis-à-vis des populations et de l’environnement. Il peut aussi s’impliquer en s’informant sur les différents labels écotouristiques existants, pour le choix de son hébergement notamment. Mais pour nous, ATR, association de professionnels, ce qui doit être le plus contraignant, c’est le cahier des charges que l’on exige de nos membres labellisés. Enfin, il ne faut pas oublier que les réglementations et l’aménagement des sites touristiques relèvent des collectivités locales. Elles ont donc un rôle important à jouer dans la régulation du tourisme.​

https://madame.lefigaro.fr/ 15/11/2021.

 

 

 

 

 

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