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  • 31 décembre 2018
  • Par APST

La revue de presse économique du 20 au 30 décembre 2018

Lettre économique partenaires APST

Aérien.

XL Airways revoit son modèle et recherche un actionnaire.

Corsair, XL Airways, les «petites» compagnies aériennes françaises peinent à prendre de l’altitude. Rapprochée de La Compagnie – la classe affaires à prix cassé- il y a deux ans, XL Airways, la spécialiste des vols bon marché tout compris, devrait être dans le rouge en 2018. En revanche, sa cousine dédiée à la business entre Paris et New York commence à prendre son envol en arrivant à l’équilibre.

Le pari de lier les destins des deux compagnies en réalisant des synergies sur les dépenses comme le carburant, les assurances, ou encore la maintenance, n’a pas tenu ses promesses. Fin 2016, XL Airways avait racheté La Compagnie par échange d’actions. Laurent Magnin, le PDG du groupe se voyait même consolider le marché de l’aérien en France.

Discussions en cours

Le cousinage des deux a failli tomber à l’eau au début de l’année 2018. XL Airways avait entamé des discussions avec la direction d’Air France. L’ancienne équipe d’Air France KLM envisageait de racheter XL Airways pour créer une low-cost long-courrier. La flotte de XL s’y prêtait bien. Elle a généralisé la classe économie dans ses quatre A330 de 400 sièges. Mais le mouvement de grève chez Air France lors de la négociation sur les salaires a ruiné tous les espoirs des dirigeants de XL Airways et d’Air France.

Désormais, les actionnaires de XL Airways et de La Compagnie – des «family offices» dont Motier, celui de la famille Moulin – espèrent qu’une compagnie étrangère pourrait trouver un intérêt à investir dans un pavillon français à la manière de ce que Qatar Airways a réalisé avec Meridiana, une compagnie sarde rebaptisée Air Italy dont elle a pris 49 %. Ou comme le chinois HNA entré au capital d’Aigle Azur.

D’après les dirigeants, des discussions sont en cours avec une compagnie étrangère.

Adieu aussi au concept de l’avion tout éco. La classe premium va faire son entrée dans les cabines XL Airways. En attendant un nouvel actionnaire, XL Airways revoit son modèle. Plus question de proposer aux clients des billets bon marché pour un service tout compris. XL va désormais offrir des tarifs à la carte, avec ou sans repas, comme chez ses concurrents low-cost. Les commerciaux se sont en effet rendu compte que les clients ne cherchaient pas le meilleur rapport qualité-prix mais le prix le plus bas. Sans faire de calcul. Quitte à payer plus cher, en ajoutant repas ou bagages, que dans une compagnie «tout compris».

Adieu aussi au concept de l’avion tout éco. La classe premium va faire son entrée dans les cabines XL Airways. Ces prochains jours, la compagnie pourrait signer l’arrivée de deux A330 900 neo dans sa flotte en 2020. Les appareils pourront alors relier l’Asie du Sud-Est sans escale. En parallèle les appareils seront réaménagés en deux classes. De son côté, La Compagnie va recevoir deux 321 neo au cours du deuxième semestre 2019: lit plat et Wi-Fi seront déployés.

Mais la croissance des compagnies tricolores paraît difficile. À part Air Caraïbes, dont la santé résiste aux cours du pétrole, toutes semblent mener une guerre d’usure contre des concurrents redoutables, appartenant à des grands groupes comme Level – groupe British Airways Iberia – ou des aventuriers du ciel comme Norwegian.
http://premium.lefigaro.fr 24/12/18.

La petite pause d’Emirates.

Les arbres ne montent pas jusqu’au ciel. Cet adage est sans doute ce qui caractérise le mieux Emirates aujourd’hui, la compagnie de Dubaï traversant une véritable phase de consolidation après tant d’années de croissance effrénée. (…)

Emirates doit bien accueillir 150 Boeing 777X durant la prochaine décennie, tout comme une cinquantaine d’A380, mais pratiquement tous ces appareils viendront remplacer des appareils existants à partir de 2021. Signe qui ne trompe pas, les délais pour passer au grade de commandant de bord qui ne cessent de s’allonger depuis quelques mois.
Pour ne rien arranger, Emirates va aussi être contrainte d’immobiliser une cinquantaine d’appareils de sa flotte durant 45 jours avec la réfection de la piste sud de l’aéroport de Dubaï à partir du 16 avril.

Ce véritable palier dans l’histoire d’Emirates intervient au moment où ses concurrents directs connaissent une période difficile, avec la réduction de voilure de sa voisine Etihad ou encore le contexte géopolitique qui freine les velléités de Qatar Airways. L’émirat de Dubaï n’affiche d’ailleurs pas non plus la santé financière de ses meilleurs jours, en témoigne le taux d’occupation de ses nombreuses tours sur le plan immobilier depuis quelques années.

Dans le contexte actuel, il semble encore bien abstrait (..) d’imaginer les livraisons des 40 Boeing 787-10 annoncés en novembre de l’année dernière lors de l’ouverture du Dubai Airshow. Ces appareils ne figurent d’ailleurs pas encore officiellement dans le carnet de commandes de l’avionneur. Emirates n’a peut être pour l’instant pas le cœur à ça… ni la place.
www.journal-aviation.com 20/12/12

L’hiver meurtrier des low cost long-courriers

Le low cost long-courrier passera-t-il l’hiver ? On peut s’interroger au vu des difficultés financières des principaux acteurs du secteur. Après avoir affiché une croissance à deux chiffres ces trois dernières années , grâce à des prix inférieurs de 30 % à 50 % à ceux des compagnies traditionnelles, ces nouveaux modèles, qui ont pour nom Norwegian, Wow Air, Primera… se sont retrouvés pris en tenaille entre l’envolée du prix du carburant au premier semestre et la baisse des tarifs suscitée par l’accroissement de la concurrence.

En octobre dernier, ce fut d’abord la faillite surprise de la danoise Primera Air, qui a laissé en plan des dizaines de milliers de passagers, cinq mois seulement après le lancement de vols transatlantiques. En novembre, la compagnie islandaise Wow Air , envoyait à son tour un signal de détresse. Elle annonçait l’échec des discussions avec Icelandair et la restitution de 9 appareils sur 20 (dont ses deux A330 long-courriers), assortie de la fermeture de 7 destinations sur 16 aux Etats-Unis et du licenciement de 111 salariés sur 650. Sa survie semble désormais dépendre de la concrétisation d’un prêt de 75 millions de dollars du fonds américain Indigo Partners.

Norwegian en danger

Toutefois, le plus alarmant pour l’avenir du low cost long-courrier reste la situation du numéro un du secteur, Norwegian . Selon un analyste de la banque danoise Danske Bank, cité par le journal norvégien « Dagens Naeringsliv », la championne des vols transatlantiques à prix cassés serait au bord du dépôt de bilan. Lourdement endetté, Norwegian ne serait pas en mesure, selon lui, d’honorer ses échéances de prêts de la fin de l’année. Ce qui pourrait conduire ses créanciers à demander sa mise en redressement judiciaire. Avec le risque de voir s’enfuir les fournisseurs, les actionnaires et les clients de Norwegian.

Un risque de crise majeure

De quoi déclencher une crise majeure dans les aéroports. Avec plus de 11 millions de passagers transportés au troisième trimestre, 150 destinations moyens et long-courriers et 164 appareils (dont 32 Boeing 787 long-courriers), Norwegian est devenu la première compagnie en nombre de destinations entre l’Europe et les Etats-Unis et un acteur majeur du transport aérien. Son éventuelle disparition laisserait des centaines de milliers de passagers sur le carreau.

Avions à vendre

Cette sombre prédiction n’a toutefois rien d’inéluctable. Si Norwegian ne nie pas les difficultés – aggravées d’une dette nette de 3,5 milliards d’euros fin 2018 pour un chiffre d’affaires de 3,1 milliards en 2017 -, la compagnie assure disposer d’un niveau de liquidité « satisfaisant ». Fin septembre, ses liquidités s’élevaient à 31 millions d’euros. Mais ses besoins de cash au quatrième trimestre serait de près du double, rien que pour les intérêts de sa dette. Toutefois, la compagnie compte également sur la revente de cinq Airbus A320 (d’une valeur d’environ 250 millions de dollars), assorti d’un plan d’économies de 200 millions d’euros, ainsi que sur une indemnisation du motoriste Rolls-Royce pour un problème technique survenu sur les Boeing 787, afin d’assurer un complément de trésorerie.

Alléger la dette

Ses principaux actionnaires fondateurs, Bjorn Kjos et Bjorn Kise, qui avaient refusé une offre d’IAG (maison mère de British Airways et Iberia) en début d’année, pourraient également injecter des fonds supplémentaires. A plus long terme, Norwegian a l’intention de revendre une grande partie de sa flotte et de ses avions commandés – 90 appareils au total – à une filiale dédiée. Celle-ci serait susceptible d’accueillir des investisseurs extérieurs, tout en relouant ses avions à sa maison mère. Ce qui permettrait à la compagnie d’alléger sa dette.

En attendant, malgré la hausse du prix du carburant, Norwegian reste en croissance et rentable, avec un (modeste) bénéfice de 134 millions d’euros au troisième trimestre, en hausse de 18 %, pour un chiffre d’affaires de 1,4 milliard (+34 %). Son trafic a encore augmenté de 11 % sur la période. Ses coûts hors carburant ont baissé de 10 % et, surtout, les cours du pétrole chutent depuis plusieurs mois. Ce qui, ajouté à la diminution de la concurrence, laisse espérer une embellie à l’été prochain… A condition d’arriver jusque-là.
https://www.lesechos.fr 26/12/18.

Conjoncture.

Le secteur du commerce enregistre un recul moyen de 25% sur un an en raison des manifestations des «gilets jaunes».

Le secteur du commerce enregistre un recul moyen de 25 % sur un an en raison des manifestations des «gilets jaunes», a estimé samedi la secrétaire d’Etat à l’Economie, assurant que « des milliers d’emplois sont en jeu ».

« On est plutôt sur une moyenne de moins 25 %, mais avec des très grands écarts. Les commerçants qui ont des produits périssables sont les plus touchés parce qu’ils ne pourront jamais se rattraper sur leur marchandise », a détaillé Agnès Pannier-Runacher sur BFM-TV lors d’un débat sur l’impact du mouvement des « gilets jaunes » sur le commerce.

Des baisses de ventes de moins 40 % à moins 70 %

Interrogée sur des baisses de ventes de moins 40 % à moins 70 %, elle a estimé que cela concernait « les commerces qui ont été le plus touchés, ceux qui ont été amenés à fermer le rideau certains samedis de ces dernières semaines ».

«Les petits commerçants m’ont annoncé de moins 15% à moins 40%, moins 50%», a précisé de son côté Francis Palombi, président de la Confédération des commerçants de France. « Rattraper en trois jours, cinq semaines de chaos et de crise, ce ne sera pas possible », a-t-il affirmé. « L’ambiance n’est pas revenue », a-t-il ajouté, en dénonçant « un samedi de trop » du côté des « gilets jaunes ».

Pas de boom du e-commerce

Pour le président de la Confédération des commerçants, « on ne rattrapera pas le temps perdu. Les pertes sont fortes, il y a beaucoup d’inquiétude (…) et en plus, ça touche l’emploi ». « Il y a des milliers d’emplois en jeu » et « des sujets de trésorerie très importants » chez des commerçants, a encore estimé la secrétaire d’État. « On a 43.000 personnes en chômage partiel qui ont été demandées ». « Il faut vraiment se mobiliser et que les « gilets jaunes » arrêtent de bloquer», a ajouté Agnès Pannier-Runacher.

Pour sa part, François Momboisse, président de la Fevad, la fédération de la vente à distance, a dit que le e-commerce n’avait pas particulièrement bénéficié des difficultés du commerce traditionnel : « Les deux premières semaines de décembre, les ventes ont été normales pour le e-commerce. Il n’y a pas eu de saut (…) Il y a un redémarrage là, juste avant Noël, la dernière semaine. La tendance (générale) est toujours à plus 14 %, c’est la tendance qu’on a depuis trois-quatre ans. Il n’y a pas un boom de la croissance, plus 25 ou plus 30, pas du tout. ».
www.20minutes.fr 22/12/18.

Économie.

L’endettement mondial atteint un niveau historique.

Pour le FMI, la dette mondiale a atteint un record de 184.000 milliards de dollars en valeur nominale. Ce qui équivaut à 225% du PIB mondial en 2017. Un montant supérieur de 2.000 milliards de dollars aux estimations publiées par le Fonds en octobre, car il inclut les dettes de plusieurs pays qui n’avaient pas encore communiqué leurs données actualisées.

Ainsi la dette réunie de tous les pays du monde atteint actuellement 184.000 milliards de dollars, soit environ 162.000 milliards d’euros. Elle n’a jamais été aussi élevée, précise le Fonds monétaire international (FMI). La dette mondiale est à peu près deux fois plus importante que le produit intérieur brut mondial. Elle atteint environ 86.000 dollars par habitant de la planète, ce qui représente plus de 2,5 fois le revenu annuel moyen par tête.

États-Unis, Chine, Japon champions de l’endettement

Les pays dont la dette est la plus grande sont les États-Unis, la Chine et le Japon. À eux trois, ces États comptent pour la moitié du total global de l’endettement international. Le FMI a calculé que leur part de dette était supérieure à celle de leur production.

L’institution a aussi déclaré que l’émergence de la Chine en haut du classement est un phénomène relativement nouveau. Depuis le début du millénaire, la part de la Chine dans la dette mondiale est passée de moins de 3% à plus de 15%. Cette augmentation rapide de ses emprunts s’est produite au lendemain de la crise financière mondiale.
www.journaldeleconomie.fr 23/12/18.

Pouvoir d’achat en France : dix ans de stagnation.

Les Gilets Jaunes auraient-ils bel et bien raison ? Dans sa dernière note de conjoncture parue mardi 18 décembre, l’Insee relève que le pouvoir d’achat rapporté à la taille du foyer (par unité de consommation) n’a en fait pas augmenté depuis dix ans. Une époque qui ramène à l’éclatement de la crise financière. Ainsi, en fait, l’augmentation positive du pouvoir d’achat global masque en réalité une stagnation du pouvoir d’achat. Les principales raisons : d’une part l’augmentation du nombre de familles monoparentales – dont l’adulte est dans la plupart des cas une femme – et d’autre part des décohabitations les plus fréquentes.

Cette tendance sur le long terme n’a fait qu’être renforcée par les mesures fiscales du gouvernement d’Emmanuel Macron. Selon l’Insee, si « l’optimisme a pu ponctuellement revenir en 2017, en lien avec le retour d’une croissance relativement solide et à la faveur des élections présidentielles, il s’est progressivement dégradé tout au long de l’année 2018 », De fait, selon les chiffres de l’Insee, la part des dépenses dites « contraintes » ou « pré-engagées » ne cessent de croître dans le budget des ménages. En 2017, elles représentait plus de 29 % du revenu disponible brut. A noter que ces dépenses contraintes sont bien plus importantes pour les ménages pauvres et modestes que pour les autres. Elles peuvent représenter 71% du budget pour une personne seule.
www.journaldeleconomie.fr 24/12/18.

Nouvelles Technologies.

Facebook encore critiqué pour sa gestion des données personnelles

C’est une enquête du « New York Times » qui a ranimé les braises toujours rouges des critiques. Le quotidien américain a interrogé des dizaines de sources et consulté 270 pages de documentation interne à Facebook.

Il en ressort de nouvelles accusations. Encore une fois, elles relèvent plus de la négligence de la part de Facebook que de la malveillance sur la question de la vie privée de ses clients. Selon l’enquête, Facebook aurait passé des accords avec plus de 150 entreprises pour leur donner des accès privilégiés aux données personnelles des utilisateurs du réseau social. Le « New York Times » précise bien que Facebook n’a pas enfreint sa règle d’or, martelée par Mark Zuckerberg : « Nous ne vendons aucune donnée et à personne. »

Néanmoins, pour améliorer l’expérience et faire croître sa base d’utilisateurs, il a laissé de nombreux partenaires accéder à des données sensibles – parfois sans lien avec le service proposé et sans que cela soit clairement compréhensible à l’utilisateur.

Un deal avec le russe Yandex

Quand une personne se connectait avec son compte Facebook, Microsoft pouvait consulter la liste de ses amis. Amazon avait accès aux adresses mails et numéros de téléphone de centaines de millions de personnes qui n’en avaient pas la moindre idée.

Netflix ou Spotify pouvaient lire le contenu des messages échangés sur Facebook. Yahoo! pouvait consulter les posts des amis. Même le géant russe de la recherche en ligne Yandex disposait d’un deal pour connaître les identifiants des utilisateurs.

Ces accords ont perduré bien après 2014, quand Facebook a durci les conditions d’accès à ce type de données aux développeurs d’applications sur sa plate-forme. Certains étaient encore en vigueur pas plus tard que l’été dernier. Beaucoup des accès sont restés valides sans même que les entreprises bénéficiaires en soient conscientes.

Revue des partenaires en cours

Dans un post de blog , Facebook a réagi aux révélations. Le groupe ne nie pas l’existence de tels accords, mais réfute l’idée que ses utilisateurs n’étaient pas avertis. « Nos partenaires d’intégration devaient recueillir la permission des gens. Vous deviez vous identifier avec votre compte Facebook pour utiliser l’intégration offerte par Apple, Amazon ou un autre partenaire », explique le groupe.

A demi-mot, le géant reconnaît toutefois avoir failli en laissant des passerelles vers les données subsister même quand les services qu’elles étaient censées alimenter n’existaient plus. « Nous sommes au milieu d’une revue de toutes nos APIs [NDLR : les interfaces de programmation] et des partenaires qui peuvent y accéder », explique Facebook.
www.lesechos.fr/ 21/12/18.

Tourisme.

Vacances au ski : la saison s’annonce belle pour le tourisme.

Les stations des Alpes ont revêtu leur manteau blanc de neige. Elles s’apprêtent désormais à accueillir les touristes. À quatre jours de Noël, les prévisions sont prometteuses. Pour la période des fêtes, le taux de remplissage sur 111 stations des Alpes s’élève à 66%, selon l’Observatoire – Savoie Mont Blanc Tourisme. Soit une progression de quatre points par rapport à l’an dernier. La neige est là en abondance. Elle a permis à une trentaine de stations d’ouvrir leurs pistes le week-end dernier. Comme aux Menuires.

6 millions de nuitées

Sur le haut des pistes, à Champagny-en-Vanoise (Savoie), il y a déjà 145 cm d’or blanc, d’après l’Observatoire – Savoie Mont-Blanc Tourisme. De quoi faire le bonheur des touristes, qui devraient affluer dans les hôtels. Plus de 6 millions de nuitées ont été enregistrées sur la période Noël et Nouvel An, selon l’Observatoire – Savoie Mont-Blanc Tourisme. Un début de saison idéal pour les professionnels du tourisme.
https://actu.orange.fr 22/12/18.

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