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  • 13 mars 2018
  • Par APST

Revue de presse économique du 1er au 10 mars 2018

 

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Aérien

 

L’État pourrait revendre l’intégralité de sa participation dans Aéroports de Paris.

La privatisation d’Aéroports de Paris (ADP) devrait intervenir d’ici la fin de l’année. Le gouvernement devrait vendre toute sa participation dans le capital de l’entreprise.

L’État détient actuellement 50,6% du capital d’ADP, l’opérateur qui gère les aéroports Roissy-Charles-de-Gaulle et Orly. C’est l’intégralité de cette participation qui sera vendue, assure BFMTV sur la foi de plusieurs sources. La régulation est suffisamment forte pour « conserver ses droits sur les dessertes, le foncier et la sécurité », estime une source et dans ces conditions, l’État n’a aucune raison de conserver une participation. L’Élysée serait sur la même longueur d’onde ; Emmanuel Macron, alors ministre de l’Économie, avait déjà voulu cette opération bloquée par le Premier ministre d’alors, Manuel Valls.

L’État conservera par ailleurs un droit de veto sur le foncier de l’entreprise, empêchant ainsi le repreneur de spéculer sur les terrains. La licence d’exploitation devrait être comprise entre 70 et 90 ans. Sur le terrain législatif, la loi Pacte portée par Bruno Le Maire comprendra un volet qui permettra à l’État de se désengager complètement, c’est à dire de passer sous le seuil des 50% de participation (la loi actuelle le lui interdit). Le vote du texte sera organisé à l’automne, ce qui permettra de lancer le processus de privatisation.

Les 50,6% de participation de l’État dans ADP « pèsent » 8,2 milliards d’euros. Un tel « bijou de famille » attire beaucoup de prétendants ; un des plus sérieux reste Vinci, qui détient déjà 8% de l’entreprise. Le groupe italien Atlantia, propriétaire de l’aéroport de Nice, ainsi que l’entreprise espagnol Ferrovial sont également sur les rangs. Des investisseurs financiers comme Ardian, Predica, la Caisse des Dépôts du Québec ou encore GIP sont intéressés. L’État pourrait faire en sorte de favoriser les groupes ayant une expérience de gestion d’aéroports internationaux

www.journaldeleconomie.fr 07/03/18.

 

Conjoncture

 

Pour la première fois depuis dix ans, le nombre d’usines progresse en France.

Cent vingt-cinq ouvertures de sites industriels ont été enregistrées l’an dernier par Trendeo, contre 100 fermetures. L’amélioration du tissu industriel français se confirme mais reste timide. La France compte toujours près de 600 usines de moins qu’au début de la crise en 2008.

La semaine qui s’achève a été marquée par deux mauvaises nouvelles pour l’emploi industriel en France. L’usine Tupperware de Joué-les-Tours (Indre-et-Loire), qui employait 235 salariés, a fermé définitivement ses portes mercredi. La veille, Ford annonçait qu’il cessait tout investissement sur son site de boîtes de vitesses de Blanquefort (Gironde), où près d’un millier de postes sont menacés.

Pourtant, dans l’ensemble, la carte de France des usines commence doucement à se repeupler. L’an dernier, 100 sites industriels ont fermé leurs portes alors que 125 ouvertures ont été annoncées, selon l’observatoire du cabinet Trendeo. Le solde est donc légèrement positif – 25 créations nettes -, pour la première fois depuis 2008. Il était encore quasiment stable en 2016 (+3).

Un paysage industriel bouleversé.

« Cette bonne nouvelle est à relativiser car le solde reste modeste, mais la tendance à l’amélioration continue depuis 2014 est solide et encourageante », estime David Cousquer, le fondateur de Trendeo. En 2009, au plus fort de la crise, 380 usines avaient été rayées de la carte et le solde net était négatif de 224.

Le paysage industriel français ressort profondément transformé neuf ans après le début de la crise. L’Hexagone compte encore 580 usines de moins qu’en 2008 malgré la petite amélioration constatée l’an passé.

Investissements modestes.

Des régions comme les Hauts-de-France ont tiré leur épingle du jeu  en particulier grâce à l’automobile et aux investissements annoncés par Renault, PSA et Toyota. La Nouvelle-Aquitaine, Auvergne-Rhône-Alpes, les Pays-de-la-Loire et le Grand-Est sont eux aussi bien positionnés.

Trois indicateurs de l’observatoire Trendeo montrent qu’on en est encore loin d’un vrai mouvement de réindustrialisation de la France. D’abord, les créations de sites restent très inférieures à ce qu’elles étaient en 2009 et 2010. L’amélioration constatée ces dernières années découle surtout d’un recul des fermetures d’usines.

Ensuite, les investissements moyens demeurent faibles : moins de 3 millions d’euros par nouvelle usine en 2016 comme en 2017, deux ou trois fois moins qu’au cours des années précédentes pourtant marquées par la crise. Enfin, ces nouveaux sites ne créent pas beaucoup d’emplois (49 en moyenne l’an dernier). Depuis le début de l’amélioration amorcée en 2014, les usines qui fermaient ont systématiquement détruit plus de postes que celles qui ouvraient n’en créaient, constate Trendeo.

L’emploi industriel est cependant reparti à la hausse dans son ensemble. Plus de 20.000 créations nettes de postes ont été recensées en 2017

www.lesechos.fr 04/03/18.

 

Économie

 

En 2017, 3000 créateurs d’entreprise ont choisi la franchise.

La France compte quelque 2000 réseaux de franchise. Pour les salariés qui veulent lancer leur affaire, cette formule offre un cadre qui peut atténuer la prise de risque.

Leur point commun? Ces quatre entreprises, leurs créateurs les ont lancées en franchise. Chacun, en suivant un cheminement personnel, a décidé de jouer cette carte d’intégrer un réseau plutôt que de faire cavalier seul. Ils font partie des 3000 personnes qui, en France, ont fait ce choix l’année passée. Au total, 74.500 franchisés – sous 2000 enseignes actives en France – ont réalisé en 2017 un chiffre d’affaires global de 57 milliards d’euros, selon les dernières données de la Fédération française de la franchise (FFF).

Cette forme de commerce en réseau est en progression constante et régulière. Même la crise n’a pas freiné cette tendance, malgré un creux de l’activité en 2013, compensé par un rebond dès l’année suivante. En 2008, la FFF recensait 1228 réseaux. Leur nombre a donc progressé de plus de 60 % en dix ans.

Ce dynamisme s’explique par la place particulière que la franchise a trouvée dans l’Hexagone. «La France est le premier pays européen par le nombre de franchises et de franchisés et elle occupe le troisième rang mondial derrière les États-Unis et l’Australie», rappelle Chantal Zimmer, déléguée générale de la FFF. Au point que Franchise Expo, dont la 37e édition se tiendra à Paris du 25 au 28 mars, s’est imposé comme un carrefour international. Cette année, 28 % des exposants sont étrangers, venant de 27 pays.

Certes, les quelque 3000 personnes qui ont choisi de se mettre à leur compte l’an dernier en devenant franchisés, représentent une part marginale des entreprises nouvelles par rapport aux 500.000 qui ont vu le jour l’an dernier. En revanche, les entreprises franchisées créent des emplois, avec, en moyenne, 6,2 salariés par point de vente. Au total, la franchise représente 620.000 emplois. Ce qui est loin d’être négligeable.

http://premium.lefigaro.fr 09/03/10.

 

Nouvelles Technologies

 

Vero, l’application dont tout le monde parle sur Instagram ?

Ce réseau social promet de ne jamais afficher de publicités, ni de surveiller ses utilisateurs, grâce à un système d’abonnement annuel.

Difficile d’y échapper si vous fréquentez Instagram. Plusieurs utilisateurs influents de l’application de photo de Facebook ont fait la promotion d’un nouveau service: Vero. Fondé par un entrepreneur libanais, il connaît un succès étonnant depuis quelques jours. Il est actuellement le réseau social le plus téléchargé sur smartphone aux États-Unis, selon les observations d’AppAnnie. Vero est aussi en ce moment la 22e application la plus téléchargée, soit une progression supérieure à 2400% en quatre jours. Elle est d’ailleurs quasiment inutilisable en ce moment, à cause d’une trop grande affluence.

http://premium.lefigaro.fr 04/03/18.

 

Législation

 

Un salarié épinglé pour avoir utilisé ses tickets restaurant le dimanche (alors que c’est interdit).

Comme le raconte le magazine « Challenges », le patron d’une PME parisienne a reçu une note de neuf pages de l’inspection du travail. Un rappel à l’ordre qui lui reste en travers de la gorge.

Il est interdit d’utiliser vos tickets restaurant le dimanche. Cette règle méconnue a été rappelée par l’inspection du travail à une petite entreprise parisienne, rapporte Challenges, mercredi 28 février. Le patron de cette PME a eu la surprise de recevoir une note de neuf pages, dénonçant l’utilisation de ces titres par l’un de ses salariés le week-end dans des McDonald’s.

« Mes contrôles réalisés (…) au sein de deux établissements de restauration rapide McDonald’s (…) m’ont permis de constater l’utilisation de titre(s)-restaurant par de(s) salariés(s) ou agent(s) de votre structure (…) notamment un jour non ouvrable », écrit l’inspecteur, avant de rappeler les règles strictes qui encadrent ces chèques.

Le patron incriminé ne décolère pas. « J’ai cru à un gag, c’est tellement ridicule ! Les inspecteurs du travail ne doivent pas être très occupés en ce moment, confie-t-il au magazine Challenges. Personnellement, j’ignorais qu’il existait des jours où on ne pouvait pas utiliser ses titres-restaurant. Toutes les personnes que je connais les utilisent n’importe quand. »

Le Code du travail est pourtant clair sur ce point. « Les titres-restaurant ne sont pas utilisables les dimanches et jours fériés, sauf décision contraire de l’employeur au bénéfice exclusif des salariés travaillant pendant ces mêmes jours », stipule l’article R3262-8. Le patron de PME a confié à Challenges qu’il n’avait pas l’intention de donner suite à cette note, malgré le risque d’amende.

www.francetvinfo.fr 04/03/18.

 

Ressources Humaines

 

Les cadres entre optimisme et inquiétude.

Qu’ils soient managers ou experts, le temps est au beau fixe pour les cadres. Le 17e baromètre Cadremploi-Ifop vient confirmer  les chiffres de l’Apec  ainsi que les  prévisions des chasseurs de têtes et cabinets de recrutement spécialisés. Les cadres sont de plus en plus en plus nombreux sur le marché : leur nombre a augmenté de 50 % en 20 ans, pour atteindre les trois millions fin 2017. Et ils n’ont également  jamais été aussi recherchés par les entreprises. Le turn-over a même atteint en 2017 un niveau record, supérieur à 8 %.

Un désir de mobilité grandissant.

Le marché est en tension dans de nombreux secteurs, plus seulement dans le numérique. Ingénieurs et commerciaux s’arrachent. « Huit cadres sur dix se sentent bien dans leur entreprise », observe cependant Frédéric Dabi, directeur général adjoint de l’Ifop. « Ils apprécient avant tout l’intérêt de leurs missions, l’ambiance au travail et l’équilibre entre la vie privée et la vie professionnelle. » Si un tiers des cadres souhaitent rester à leur poste, ils sont de plus en plus nombreux à songer à quitter leur entreprise aujourd’hui : 45 % sont ouverts aux opportunités de carrière, et 9 % en recherche active. « L’optimisme des cadres se situe à un niveau jamais atteint depuis 2008 », analyse Frédéric Dabi. « C’est particulièrement vrai pour les plus jeunes et pour ceux dont le salaire est supérieur à 50.000 euros annuels. » Désireux de changement, les cadres n’en sont pas moins exigeants. Au cours des six derniers mois, 59 % avaient consulté des offres d’emploi, 31 % y ont postulé, et 27 % ont passé au moins un entretien. Pour finalement, dans 42 % des cas, décliner l’offre proposée ! Un taux qui n’a jamais été aussi élevé… « Les cadres sont à l’affût du marché et des opportunités, bien plus que les années précédentes », résume Frédéric Dabi. Cependant, les salaires ne décollent pas encore. Les entreprises n’ont pas toutes pris conscience de la nécessité d’attirer et de fidéliser les talents. « Les tensions du marché n’impactent pas encore les comportements, observe Frédéric Dabi. Mais nous sommes peut-être à l’aube de mobilités très importantes. »

Inquiétudes sur le statut.

Autre enseignement de l’étude : les cadres font part de leur attachement au statut. Ils sont 79 % à estimer qu’il existe une différence réelle de traitement entre eux et les non-cadres. Ils définissent leur statut à 80 % par les responsabilités, et à 72 % par l’expertise. Enfin, 71 % le trouvent valorisant. Or l’Agirc, régime de retraite complémentaire des cadres fusionnera en janvier 2019 avec l’Arrco, retraite complémentaire des salariés non-cadres du secteur privé. L’affiliation au régime de retraite définissait jusqu’à présent le statut du cadre, lequel se révèle de  moins en moins manager et de plus en plus expert. Le gouvernement a ouvert des négociations avec les organisations syndicales afin de réformer et redéfinir le précieux statut. Pour 54 % des principaux intéressés, cette réforme est nécessaire. Ils sont 61 % à juger qu’elle permettra de mieux définir leurs conditions de travail, et 46 % qu’elle facilitera leur mobilité professionnelle. Mais elle est aussi une source d’inquiétude pour 60 % d’entre eux. Ils sont enfin 67 % à estimer qu’elle va fragiliser leur protection sociale.

https://business.lesechos.fr 28/02/18.

 

Un salarié épinglé pour avoir utilisé ses tickets restaurant le dimanche.

C’est une règle assez méconnue, mais qui concerne pourtant tous les salariés français détenteurs de titres restaurant. D’après le Code du travail, il est strictement interdit d’utiliser les tickets resto en dehors des jours de travail, notamment le dimanche.

Un patron d’une PME en région parisienne en a fait l’amère expérience, rapporte le magazine Challenges. Il a eu la surprise de recevoir une note de neuf pages provenant de l’Inspection du travail, dénonçant l’utilisation des titres restaurant par l’un de ses salariés le dimanche. « Mes contrôles réalisés […] au sein de deux établissements de restauration rapide McDonald’s […] m’ont permis de constater l’utilisation de titre(s) restaurant par de(s) salariés(s) ou agent(s) de votre structure […] notamment un jour non ouvrable », a ainsi écrit l’inspecteur du travail, avant de rappeler les règles strictes qui encadrent ces chèques.

Le patron risque une amende de 4e classe par salarié, soit 135 euros

La règle est claire. « Les titres restaurant ne sont pas utilisables les dimanches et jours fériés, sauf décision contraire de l’employeur au bénéfice exclusif des salariés travaillant pendant ces mêmes jours », stipule l’article R3262-8 du Code du travail.

www.20minutes.fr 03/03/18.

 

Tourisme

 

Vacances : un budget élastique pour les Français.

Les vacances d’été, c’est indispensable pour bon nombre de Français qui y consacrent un budget important. Le comparateur d’offres de voyages en ligne Kayak a mené l’enquête.

Pour un quart des Français (23%), le budget consacré aux vacances estivales est compris entre 2 000 et 5 000 euros. 27% d’entre eux y consacreront entre 1 000 et 2 000 euros. Pour 21% des personnes interrogées, ces dépenses seront plus modestes avec un budget compris dans une fourchette de 500 à 1 000 euros. Un Français sur dix veut limiter le budget vacances sous les 500 euros. L’argent pour partir est puisé pour 31% des personnes interrogées dans leur épargne ; pour les Espagnols, ce pourcentage est de 50%.

En ce qui concerne les activités pratiquées durant les vacances, un quart des Français ont choisi la randonnée, et 24% le camping. Parmi les lieux de villégiature préférés, on compte la maison familiale du pays d’origine dans 22% des cas, mais plus souvent c’est soit l’hôtel, soit le meublé de tourisme qui remporte les suffrages : 32% des Français choisissent l’un ou l’autre pour leurs vacances. Les services de location entre particuliers, de type Airbnb, sont sans doute pour beaucoup dans le succès des meublés touristiques mais les hôtels restent tout de même populaires.

Dans le reste de l’Europe, ce type de service est diversement utilisé. Peu en Scandinavie par exemple 65% des Finlandais et 61% des Suédois préfèrent ainsi un hôtel. C’est aussi le cas au sud de l’Europe : 64% des Espagnols ont également une préférence pour l’hôtel. Enfin, en termes de choix des prochaines vacances, les Français font confiance au bouche à oreille dans 43% des cas. Pour 36% d’entre eux, c’est une visite sur internet qui détermine le prochain lieu de villégiature. Les hobbies et les occupations sont responsables de 22% du choix des prochaines vacances

www.journaldeleconomie.fr 02/03/18.

 

La justice met un coup d’arrêt au très contesté méga-projet Europacity.

Après le récent abandon du projet d’aéroport de Notre-Dame des Landes, le méga-projet Europacity a du plomb dans l’aile. Saisie par plusieurs associations de défense de l’environnement, la justice vient d’annuler l’arrêté préfectoral du 21 septembre 2016 créant la zone d’aménagement qui devait accueillir ce projet de 3 milliards d’euros.

Dans sa décision, le tribunal administratif de Cercy-Pontoise souligne notamment que les analyses étaient «très insuffisantes» concernant «la question des émissions de CO2 induites par les déplacements de touristes par déplacements terrestres ou aériens, eu égard à la proximité de l’aéroport et dans la perspective de la création d’Europacity» qui entend attirer 31 millions de visiteurs (gratuits et payants) par an. Pour la justice, ces lacunes «ont nuit à l’information complète de la population […] eu égard à l’impact potentiel sur l’environnement du projet litigieux qui se traduit notamment par la suppression de 280 hectares de terres agricoles».

De vaines tentatives de modification du projet

Située près de Roissy, Europacity, filiale immobilière du groupe Auchan et du groupe chinoise Wanda, a proposé d’implanter d’ici 2024 un parc d’activités à vocation touristique et culturelle sur 80 hectares de terres encore agricoles du Val-d’Oise (nord de Paris), autrefois zones de maraîchage destinées à ravitailler Paris. Ce complexe était vu par ses opposants comme une menace pour l’environnement du côté de ses détracteurs tandis que ces défenseurs en faisaient une locomotive économique.

Initialement critiqué comme une «dubaïsation» de l’Ile-de-France, en raison des pistes de ski artificiel inscrites dans le projet et de l’abondance de centres commerciaux évoquant l’émirat de Dubaï, le projet est désormais voué aux gémonies en raison du bétonnage prévu de terres qui furent parmi les plus fertiles d’Europe.

Une pétition proposant un projet alternatif baptisé Carmat, bâti autour d’une économie agricole circulaire, mêlant agro-écologie et recyclage, a suscité la riposte des promoteurs d’Europacity. Mais les efforts des promoteurs pour modifier leur projet n’ont donc été que de vaines tentatives

http://immobilier.lefigaro.fr 06/03/18.

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