Pourquoi passer par une plateforme de tourisme
Pourquoi une plateforme en tourisme ? Si les avantages pour l’agence de voyages sont nombreux, au final, c’est bien le touriste lui-même qui y gagne. Une offre différenciée, de qualité, rapidement et sans avoir à dépenser son budget voyage avant même de l’avoir effectué. Plus d’explications à travers l’exemple du portail du Cediv.
Avec une plateforme : plus de maintenance, plus de mise à niveau fastidieuse, plus de développement couteux, plus de problème de serveur, plus de frein pour connecter des sources externes… Tout est prévu, le système central se charge de tout comme le confirme Adriana Minchella, présidente du Cediv :
« Outre le fait que nos adhérents pourront bénéficier de sites responsives, ce qui devient la norme aujourd’hui, ils seront dégagés des contraintes de la maintenance et de l’administration. N’oublions pas la finalité de notre métier : nous n’avons pas à distraire un temps excessif à résoudre des problèmes internet ! Nous devons consacrer notre budget temps essentiellement à la vente. »
La qualité à moindre coût
Et puis l’aspect économique entre en ligne de compte. Les coûts sont mutualisés comme le précise Thiago Bohme, chef de projet chez Orchestra : « En répartissant les coûts, les fonctionnalités deviennent financièrement abordables pour tous. Prenez l’exemple d’une solution de paiement sécurisée. C’est essentiel pour donner confiance aux clients. En proposant une formule mutualisée, on limite les dépenses de chaque adhérent ».
La différenciation face à la créativité
D’aucuns diront qu’une plateforme a tendance à lisser la créativité au détriment de la différenciation. C’est vrai, d’autant que les personnalisations sont relativement limitées dans la matrice proposée, en dehors de la mise en avant du nom de l’agence et du choix des couleurs. Mais pour Thiago Bohme, cette critique n’a pas lieu d’être :
« Se lancer dans la créativité n’est pas toujours couronné de succès. Je dirais même que c’est souvent l’inverse. Un site très original, s’il ne respecte pas les codes actuels, sera voué à l’échec. Dans le domaine de l’e-commerce, l’improvisation, c’est l’ennemi. Il faut tester en permanence. Ne retenir que ce qui marche. Re-tester et améliorer les solutions par itérations successives. Il n’y a pas de secret. C’est le public qui décide en dernier ressort, pas le créatif. On ne met pas à votre disposition une technologie, mais une expertise qui marche ».
Le portail du Cediv a comme atout de se présenter avec un design, certes classique, mais valorisant. Il est moderne, fluide et élégant. « Fini les ‘’arbres de noël’’ clinquants et attrapent tout. C’est complètement dépassé », insiste Thiago Bohme. Les internautes aspirent à une navigation aisée et une exposition directe aux produits et services.
Une meilleure gestion du voyage… et du voyageur
Adriana Minchella déclare haut et fort: « La technologie doit faire partie de l’ADN des agences. Leur évolution en dépend ». Sic. Le Cediv met donc à la disposition de ses adhérents un portail qui sera à la fois BtoB et BtoC. Le BtoB est gratuit ou plus exactement pris en charge par le Cediv et pour le BtoC, il faudra débourser la première année 1 500 euros.
C’est une dépense unique qui ne sera plus demandée les années suivantes. La rémunération d’Orchestra sera un fis sur les ventes.