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  • 10 septembre 2015
  • Par APST

Revue de presse économique du 10 septembre 2015

Économie & Tourisme

Revue de Presse Économique

1er au 10 septembre 2015

Consommateurs.

800.000 ménages victimes d’une escroquerie bancaire.

Plus de 800.000 ménages se sont récemment déclarés victimes d’au moins une escroquerie bancaire, une infraction en hausse mais dont le préjudice est souvent inférieur à 240 euros, selon une étude de l’ONDRP qui doit être publiée mardi 1er septembre. L’Observatoire national de la délinquance et des réponses pénales (ONDRP) a rendu publique une « analyse descriptive » des escroqueries bancaires constatées par les ménages français sur leur compte, selon ce qu’ils ont déclaré lors des enquêtes dites de victimation menées entre 2011 et 2014 par l’ONDRP et l’Insee. Elle révèle ainsi que le nombre de ménages victimes de débits frauduleux sur leur compte bancaire a augmenté « de façon régulière » depuis 2010. La moitié des ménages victimes disent avoir subi un préjudice d’un montant inférieur à 240 euros. Près des deux tiers des victimes avouent ne pas connaître le mode opératoire employé par l’auteur de l’infraction.
Achat sur internet.
Parmi ceux qui sont toutefois « parvenus à identifier le procédé », un « tiers ont vu leurs informations bancaires dérobées tandis qu’elles avaient effectué un achat sur internet », selon l’étude.
Quatre ménages victimes sur dix déposent plainte suite à cette escroquerie, relève encore l’ONDRP.
Plus des trois quarts ont été remboursés par leur banque.
L’Insee et l’ONDRP interrogent régulièrement quelque 17.000 ménages français représentatifs au sujet de faits de délinquance qu’ils déclarent avoir subis et pour lesquels ils ne portent pas systématiquement plainte.
Les résultats de ces enquêtes tranchent singulièrement avec les chiffres officiels de la délinquance, basés notamment sur les plaintes effectives des Français.
www.challenges.fr 01/09/15.

Économie.

Moins de créations d’entreprises en juillet (-0,6%).

Après la nette reprise en juin, le nombre de nouvelles entreprises s’est de nouveau tassé en juillet (-0,6%), indique l’Insee dans son dernier bilan.
Les français ont créé 43 803 entreprises en juillet, soit 286 de moins par rapport à juin (-0,6%). Ce léger repli est lié à nouvel essoufflement des adhésions au statut d’auto-entrepeneur, englobé dans la catégorie des micro-entreprises depuis 2014. 17 955 créations ont été dénombrées sous ce régime simplifié, après 18 677 en juin (-3,8%). En revanche, la part des nouvelles entreprises créées sous des statuts classiques progresse (+4,3% depuis avril). Un tiers d’entre-elles sont immatriculées sous une forme sociétaire, et 21,8% sont des entreprises individuelles de droit commun. La majorité sont des micro-entreprises (46,7%) mais celles-ci représentent désormais moins de la moitié du total (46,7%).
Les créateurs se lancent dans le soutien aux entreprises.
Sur l’année écoulée, « le nombre cumulé de créations est en baisse de –2 % » note l’Insee, un repli qu’elle impute à la chute des créations de micro-entrepreneurs (–10,2 %), « compensée en partie par la hausse des créations des autres types d’entreprises ». Selon l’Institut, cette baisse se fait surtout sentir dans les secteurs de la construction et du commerce.
Les plus fortes hausses ont été observées le mois dernier dans les activités immobilières (+2,6%) et les métiers de l’enseignement, de la santé et de l’action sociale (+2,4%). Les créations les plus nombreuses sont recensées dans les services de soutien aux entreprises (9 718 en juillet), le petit commerce et la réparation d’automobiles (7 968), l’enseignement, la santé et l’action sociale (5 804), la construction (5 323), les services aux ménages (3 993).
www.insee.fr 05/09/15.

Toujours autant de faillites d’entreprises.

Malgré une croissance meilleure en 2015, le nombre d’entreprises en difficulté reste aussi élevé que l’an dernier, indique un bilan de la Banque de France.
A fin juin, le nombre d’entreprises ayant déposé leur bilan auprès des tribunaux de commerce s’établissait à 63 202 sur les douze derniers moins, indique un bilan de la banque de France. Un rythme équivalent à celui observé l’an dernier à la même époque (63 224), preuve que le regain de croissance enregistré au premier trimestre 2015 n’a guère eu d’effet positif sur les statistiques.
Les micro-entreprises sont les plus exposées aux ralentissements de conjoncture qui entraînent la baisse récurrente des commandes : les défaillances portant sur ces petites structures de moins de dix salariés a progressé de +0,9% sur un an. La situation s’améliore en revanche pour les PME (68%) et les grandes entreprises.
Par secteur, la Banque de France relève les plus grosses difficultés dans l’hébergement-restauration (+7,3% de failles sur douze mois), les activités immobilières (+2%) et la construction (+1,5%). Les défaillances reculent en revanche dans le transport (-11,7%), l’information (68,4%), les services et conseils aux entreprises (-2,9%), le commerce (-2,6%) et l’industrie (-2,5%).
Cest statistiques portent, rappelons-le, sur les entreprises qui ont été engagées, après dépôt de bilan, sur le voie d’un redressement, d’une procédure de sauvegarde ou d’une liquidation pure et simple (sous réserve d’un rachat).
En 2009, au plus fort de la crise, 63 204 entreprises avait été reconnues « en faillite ».
www.creation-entreprise.fr 07/09/15.

Législation.

Droit du travail : les propositions chocs de l’Institut Montaigne.

Dans un rapport dévoilé mardi par « l’Opinion » et dont « Les Echos » ont obtenu copie, l’Institut Montaigne tire le premier. A la veille de la remise, ce mercredi, du rapport de Terra nova, proche du PS, sur ce même thème, le think tank libéral jette un pavé dans la mare. Dans une approche assez radicale, il plaide pour une inversion totale des normes, qui ferait de l’accord collectif, reconnu comme « source constitutionnelle » du droit du travail, « la norme de droit commun de fixation des règles générales des relations de travail ».
Au cœur de sa réflexion, un double constat : l’omniprésence de la loi et les jeux d’acteurs des négociations interprofessionnelles débouchent sur des « consensus a minima » pas à même de relancer le marché du travail ; au contraire, c’est « dans l’entreprise que peuvent être trouvés les compromis au service de la compétitivité des entreprises et de l’intérêt des salariés ».
Donner les quasi pleins pouvoirs aux entreprises
Concrètement, le think tank préconise de donner les quasi pleins pouvoirs aux entreprises pour « adapter à leurs besoins  spécifiques » les règles issues du Code du travail, des branches et des accords interprofessionnels. Seules les règles relatives à la dignité et aux droits fondamentaux des salariés (harcèlement, égalité professionnelle) et à la protection de leur santé resteraient gravées dans le marbre de la loi. Pour le reste, ce n’est qu’à défaut d’accord d’entreprise que les règles fixées aux échelons supérieurs s’appliqueraient.
Le temps de travail, la forme du contrat (motifs de recours aux CDD, durées maximales, etc.) ou les motifs de licenciement (comme « la fin d’un projet ») seraient ainsi redéfinissables par accord interne. Faisant fi des tabous et totems, l’institut préconise d’autoriser les branches à déroger par accord au SMIC. L’accord collectif primerait même le contrat du travail, ce dernier pouvant ainsi être modifié en cours de route. Un salarié refusant la nouvelle donne serait licencié pour cause réelle et sérieuse, mais avec des indemnités moindres que pour un licenciement « traditionnel ».
Généraliser le principe de l’accord majoritaire
En guise de garde-fous, le rapport veut généraliser le principe de l’accord majoritaire (valable si signé par des syndicats pesant au moins 50 % des voix aux élections professionnelles) et renforcer la formation des représentants du personnel. Mais ils n’auraient droit qu’à deux mandats consécutifs, limités à chaque fois à 50 % du temps de travail pour « éviter le développement d’un syndicalisme d’appareil ».
Les pistes les plus audacieuses, qui font saliver le patronat mais sont fustigées par les syndicats et une grande partie de la gauche, n’ont aucune chance d’être retenues par l’exécutif, même si celui-ci entend promouvoir les accords d’entreprise. En la matière, Matignon attend le rapport commandé à la commission Combrexelle, qui sera rendu ces prochains jours. Manuel Valls est décidé à avancer sur le sujet, mais tout l’exercice consistera à trouver le bon équilibre entre une nécessaire souplesse accrue pour les entreprises et le maintien attendu d’un certain degré de règles collectives.
www.lesechos.fr 04/09/15.

Médias.

Presse économique : Business Insider débarque en France en 2016.

Business Insider, média dédié au monde des affaires, aux technologies et à la finance, débarque bientôt en France. Prisma Media a annoncé vendredi 28 août le lancement d’une déclinaison de ce site d’informations, lancé en 2007 et présidé par Henry Blodget, un ancien analyste financier dont la carrière fut stoppée par la bulle internet. Il devrait être accessible aux lecteurs début 2016.
Rolf Heinz, le président de Prisma Media a estimé dans un communiqué qu’avec « un public jeune et doté d’un fort esprit d’entrepreneuriat, Business Insider.com est en parfaite adéquation avec le développement de notre portefeuille de marques économiques ».
Le dirigeant estime que cela « va contribuer à renforcer notre position de leader dans le secteur économique et le marché du numérique en France ». Le site français aura sa propre rédaction et proposera « des reportages, des vidéos, des photographies et des analyses ».
Déjà sept déclinaisons internationales de Business Inside.
On y voit ainsi un peu plus clair dans la stratégie de Prisma Media sur le sol français. En décembre 2014, le groupe s’était dit prêt à réaliser 100 millions d’euros de rachats en France notamment « dans l’univers du digital ».
Par ailleurs, déjà éditeur en France des revues économiques Capital et Management, ce n’est pas la première fois que Prisma Media décline un média économique américain dans une version française.
En 2013, le groupe a lancé un premier numéro en langue française de la Harvard Business Review.
Présent depuis 2007 aux Etats-Unis, le site Business Insider dispose déjà de plusieurs déclinaisons internationales, en Australie, au Royaume-Uni, en Malaisie, à Singapour, en Indonésie, en Inde et en Chine.
Business Insider se targue d’une audience de 45 millions de visiteurs uniques par mois s’agissant des seuls Etats-Unis, et de 80 millions dans le monde entier.
www.latribune.fr 01/09/15.

Nouvelles Technologies.

Facebook dépasse le milliard d’utilisateurs en un seul jour !

Le réseau social Facebook a annoncé jeudi 27/08/15 avoir atteint pour la première fois en début de semaine le seuil d’un milliard d’utilisateurs sur la même journée.
« Lundi, une personne sur sept sur la Terre a utilisé Facebook pour entrer en contact avec ses amis et sa famille », écrit le PDG-fondateur, Mark Zuckerberg, dans un message publié sur son propre profil sur le réseau.
Le premier réseau social mondial revendiquait 1,49 milliard de membres actifs au dernier pointage fin juin, mais ce chiffre correspond à des utilisateurs se connectant au moins une fois par mois. Parmi eux, seulement 968 millions (soit 65%) étaient répertoriés comme des utilisateurs quotidiens.
Vu la taille qu’il a déjà atteint, le rythme d’augmentation du nombre d’utilisateurs de Facebook ralentit, mais son chiffre d’affaires a encore grimpé de 39% à un peu plus de 4 milliards de dollars sur les trois mois achevés fin juin, soutenu par les recettes publicitaires notamment mobiles qui ont constitué le moteur de la croissance du groupe ces dernières années.
Le réseau social met aussi de plus en plus l’accent sur la vidéo, où il apparaît de manière croissante comme un rival pour YouTube, la filiale de vidéos en ligne du géant internet Google.
www.lesnewseco.fr/ 29/08/15.

Ressources Humaines.

Légère embellie pour le salaire des cadres en 2015.

Selon la dernière édition du baromètre Expectra, en partenariat avec RégionsJob, sur les salaires des cadres, ces derniers ont vu leur rémunération augmenter de 1,2 % en 2015, par rapport à l’année dernière.Malgré la crise économique qui se poursuit, les cadres ne sont pas les plus mal lotis. D’après les résultats du baromètre Expectra basé sur les salaires réels extraits de près de 70 000 fiches de paie, la rémunération des cadres a légèrement augmenté de 1,2 % cette année par rapport à 2014.
Une progression supérieure à celle enregistrée l’an dernier, qui atteignait 0,9 %.Des situations hétérogènes selon les secteursPour autant, l’étude nous apprend que tous les secteurs d’activité ne sont pas logés à la même enseigne. L’augmentation des salaires atteint seulement 0,5 % dans la filière commerce et marketing contre 0,9 % l’année dernière. En revanche, les rémunérations progressent de 1,4 % dans l’ingénierie et l’industrie et de 1,2 % dans l’informatique et les télécoms.Les ingénieurs, grands gagnantsConcernant les métiers, la fonction d’ingénieur semble réunir les meilleures progressions. Par exemple, les ingénieurs R & D ont vu leurs salaires bondir de 4 % cette année, tout comme les consultants décisionnels dans l’informatique et les télécoms. Dans ce même secteur, la rémunération des ingénieurs réseau a augmenté de 3,6 %.
www.courriercadres.com 03/09/15.

Toujours 10% de chômeurs en France.

D’après les statistiques de l’Insee, le chômage s’est stabilisé au deuxième trimestre 2015, après une légère baisse observée en début d’année.
On est encore loin de l’inversion de la courbe promise par François Hollande en 2013, engagement compromis par une croissance beaucoup trop faible. Reste que, selon les analyses de l’Insee, la courbe « stagne ». Ces résultats, qui prennent en compte les critères définis par le Bureau International du Travail (BIT) diffèrent des bilans mensuels livrés par Pôle Emploi et établissent des tendances trimestrielles, plus favorables que les statistiques de court terme.
Rechute de la croissance
D’après l’Institut national, le taux de chômage par rapport à la population active est resté stable à 10% lors du deuxième trimestre (après une baisse de -0,1% sur la période janvier-mars 2015). Derrière ce curseur, l’Insee recense 2,9 millions de personnes sans aucune activité professionnelle. Il note une baisse du chômage chez les jeunes de moins de 24 ans (-0,6%) et dans la tranche des 25/49 ans (-0,2%). En revanche, la situation a continué à se dégrader pour les seniors de plus de 50 ans (+0,6%). La courbe affiche toujours un mauvais résultat sur un an (+0,3 point).
Rappelons que le chômage au sens du Bureau International du Travail (BIT) concerne les personnes en âge de travailler mais qui n’ont effectué aucune heure d’activité au cours d’une semaine dite « de référence ». Conformément aux critères retenus, cette personnes doit être « disponible pour travailler dans les deux semaines » et sont en recherche active d’emploi depuis au moins un mois.
Arès un début d’année encourageant, portée par un taux de croissance inespéré (+0,6%), le soufflé est retombé au second semestre en raison d’une rechute du niveau de consommation, qui a abouti à un PIB nul (0%).
Dans son bilan de juillet, Pôle emploi avait annonçait fin août un léger recul du nombre de demandeurs d’emploi sans activité (-1 900, à 3,5 millions de personnes), un résultat positif qui s’explique aussi (et surtout) par les nouvelles méthodes de calcul mises en place cet été qui transfèrent une partie des personnes inscrites en catégories A vers d’autres catégories.
www.creation-entreprise.fr 03/09/15.

Tourisme.

Paris : les vieux autocars désormais indésirables.

Tolérance zéro dans la lutte contre la pollution. La Préfecture de police, sous la tutelle de la Mairie de Paris, verbalise dès ce mardi les véhicules qui ne respectent pas les restrictions de circulation mises en place dans la capitale depuis le 1er juillet. Concrètement, les poids lourds et les autocars immatriculés avant le 1er octobre 2001 n’ont plus le droit de cité dans les rues de Paris, tous les jours, entre 8 heures et 20 heures. En cas de transgression, la note peut-être salée. Les contrevenants s’exposent à une amende de 35 euros voire à une saisie du véhicule. La mesure intervient dans le cadre d’un vaste plan de lutte contre la pollution atmosphérique initié par Anne Hidalgo et qui sera mis en application de manière progressive. Le but : créer d’ici à 2020 une capitale propre dotée d’une vaste «zone à basse émission». Les abords de la capitale – le périphérique et le bois de Vincennes – restent toutefois exemptés de cette interdiction.
Les chauffeurs inquiets
Aujourd’hui, seuls les véhicules, de type Euro 6 – la norme européenne d’émission la plus récente – sont autorisés à la vente, dans le neuf. Pourtant, 10 à 15 % des 150.000 camions et autocars qui circulent chaque jour à Paris sont les vieux modèles polluants concernés par la nouvelle verbalisation selon la Fédération nationale des transports routiers (FNTR). «Nous avons été mis au courant depuis l’année dernière, donc on a pu anticiper en commençant à renouveler notre flotte», précise Élisabeth Charrier, déléguée Ile-de-France de la FNTR. Si les professionnels du transport routier ne se sentent pas pris de court par la nouvelle réglementation, ils ne cachent néanmoins pas leur inquiétude face au compte à rebours antipollution qui a officiellement démarré le 1er juillet. Entre 2017 et 2020, les véhicules siglés Euro 2, 3 et 4 seront progressivement interdits. «Les Euro 3 (les poids lourds mis en circulation avant 2006, NDLR) représentent 25 % du trafic, ça commence à faire beaucoup en termes d’interdiction», détaille Élisabeth Charrier. À l’horizon 2020, plane toujours le risque d’une éradication de tous les véhicules fonctionnant au diesel dans la capitale. «Une telle mesure serait dramatique pour le transport routier et le tourisme», accuse Élisabeth Charrier. «Les constructeurs n’ont pas d’alternative au diesel, il faudrait une distribution de gaz dix fois supérieure à l’offre actuelle», explique-t-elle.
Une inquiétude reprise en chœur par les autocaristes. «Nous avons anticipé la nouvelle mesure en équipant certains de nos cars de tourisme et de transport scolaire avec des filtres à particules mais une sortie complète du diesel nous mettrait en danger», certifie Ingrid Mareschal, secrétaire générale de la Fédération nationale des transports de voyageurs (FNTV). Pour les professionnels du transport, renouveler la flotte automobile avec des véhicules plus propres, de type Euro 5 ou Euro 6 devient la norme. «C’est ce vers quoi nous allons», assure Ingrid Mareschal. Dès l’été 2016, «les restrictions de circulation s’étendront aux véhicules légers, utilitaires légers et deux-roues motorisés les plus polluants», a rappelé la maire de Paris.
www.lefigaro.fr 01/09/15.

Quatre villes françaises parmi les moins accueillantes du monde.

Le magazine Travel + Leisure a publié le 28 août dernier la liste (*) des 30 villes les moins accueillantes du monde.
En tête des suffrages, on retrouve la capitale russe Moscou, victime de son trafic routier, de sa nourriture typique et la froideur des Moscovites. Saint-Pétersbourg, une des plus grandes villes du pays, subit aussi le même sort et se classe à la troisième position des villes les plus inhospitalières.
Pour autant, les Français ne sont pas en reste car quatre villes de l’Hexagone figurent dans le classement. A commencer par Marseille à la quatrième place. Même si « beaucoup ont pensé que cette ville portuaire était beaucoup plus décontractée et accommodante que Paris », Le Huffington Post explique que « même les Français sont en conflit avec la deuxième plus grande ville de France ». On retrouve ensuite Cannes en dixième position où « le charme (…) est en train de disparaître », selon Kathleen Dwyer, une lectrice. Les villes de Nice et Lyon se placent respectivement à la 22e et 26e de ce classement.
Les Américains sont les moins agréables
Si les Etats-Unis font rêver à l’étranger, les voyageurs en reviennent rarement ravis. Au total, six de ses villes figurent dans le top 10 classement. Parmi elles, Atlantic City (2e) suivie de Los Angeles (5e), New-York (6e), Philadelphie (7e), Baltimore (8e) et enfin Las Vegas en (9e). Au total, ce sont treize villes américaines qui font partie du classement.
www.20minutes.fr 05/09/15.

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