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  • 20 février 2015
  • Par APST

Revue de presse économique du 20 février 2015

Économie & Tourisme

Revue de Presse Économique

10 au 20 Février 2015

Aérien.

Sur les douze mesures urgentes d’aide aux compagnies aériennes françaises préconisées par le rapport du député Bruno Le Roux, une seule a réussi à voir le jour.

La publication en novembre dernier, du rapport Le Roux sur la compétitivité du transport aérien avait suscité de grands espoirs parmi les compagnies aériennes françaises. La totalité des acteurs du secteur étaient unanimes à saluer la pertinence des mesures préconisées par le président du groupe socialiste à l’Assemblée nationale, pour venir en aide au pavillon français. Las, trois mois plus tard, force est de constater que la plupart des propositions pourraient bien rester lettre morte. Sur la douzaine de mesures “ urgentes à court terme ” formulées par le rapport, une seule a été votée par le Parlement. A savoir l’exonération du paiement de la taxe de l’aviation civile pour les passagers en correspondance dans les aéroports français. Une mesure réclamée tant par Air France que par Aéroports de Paris, qui estiment que cette taxe spécifiquement française de 12,5 euros par billet A-R, contribuait à la perte de compétitivité de Roissy-CDG face aux grands hubs concurrents de Londres, Francfort, Amsterdam et Dubaï.
Statu quo pour la « taxe Chirac ».
“ Nous sommes très satisfaits de cette mesure, souligne-t-on chez Air France. Cela représente une économie potentielle de 20 millions d’euros dès cette année et de 50 millions en année pleine ”. Seul petit bémol, cette exonération, qui devrait coûter au total 60 millions d’euros au budget de l’Etat, se fera en deux temps : 50% à compter de mai 2015 et en totalité à compter de 2016. Et il aura fallu tout le poids de Bruno Le Roux pour éviter qu’elle ne passe à la trappe. La ministre de tutelle du transport aérien, Ségolène Royal, n’y était, dit-on, pas favorable.
En revanche, une autre proposition-phare du rapport est passée à la trappe. Celle consistant à ne plus faire reposer sur les seules épaules des compagnies aériennes, la taxe de solidarité, dite “ taxe Chirac ”, destinée à financer la lutte contre les maladies en Afrique. Relevée de 12,7% en 2014, elle représente un prélèvement d’environ 180 millions d’euros par pour les seules compagnies aériennes, dont plus de 60 millions pour Air France. Le rapport Le Roux proposait non pas de la supprimer, mais d’élargir son assiette à d’autres secteurs, comme la grande distribution. Mais certains collègues de Bruno Le Roux ont voulu y voir une remise en cause de l’aide aux pays pauvres. Par ailleurs, le gouvernement avait déjà prévu d’alourdir la taxation de la grande distribution pour d’autres motifs.
Pour finir, l’intervention directe de Claude Chirac, la fille de l’ex-président, auprès de l’actuel locataire de l’Elysée, a fini de faire pencher la balance du côté du statu quo.
Le coût de la sécurité.
D’autres idées du rapport semblent prendre le même chemin, comme celle de faire supporter par l’Etat le coût des mesures de sûreté. La France est le seul pays d’Europe où le coût de la sûreté est intégralement payé par les passagers. Cela n’est pas prêt de changer. Ainsi l’installation de nouveaux détecteurs d’explosifs dans les aéroports, imposés par l’Europe, devrait ainsi coûter des centaines de millions d’euros, qui devront être intégralement réglés par les passagers. Même chose concernant la simplification des réglementations, très attendue par les transporteurs, qui ne coûterait rien à l’Etat et pourrait se traduire par 250 à 350 millions d’euros d’économies, selon une estimation de la Fédération nationale de l’aviation marchande (Fnam). “ Nous sommes impatients de voir un début de simplification, souligne son président, Alain Battisti. C’est pour nous le point le plus important ”. Mais pour l’heure, la transposition dans le droit français de la nouvelle réglementation européenne sur les temps de travail des personnels navigants, votée en septembre 2013, se fait toujours attendre. Si la plupart des pays européens l’ont déjà adopté, certains comme le Royaume Uni à travers une simple circulaire de 34 pages, la Direction générale de l’aviation civile n’a toujours pas rendu sa copie, qui ferrait, dit-on, déjà plus de 1.000 pages.
Sur d’autres sujets du rapport, en revanche, le bras de fer se poursuit. C’est le cas de la recommandation, très populaire auprès des compagnies, de geler les redevances d’Aéroports de Paris, afin de “ rééquilibrer la chaîne de valeur entre transporteurs et exploitants d’aéroports ” semble également ma partie. Après une hausse prévue de 2,4% cette année, ADP prévoit de continuer à augmenter ses tarifs de 1,75% par an, hors inflation, sur la période 2016-2020. Voyant cela, Alexandre de Juniac, le PDG d’Air France-KLM et Frédéric Gagey, le Pdg d’Air France ont écrit, la semaine dernière, au Premier ministre Manuel Valls, pour lui rappeler les préconisations du rapport Le Roux à ce sujet. “ Cette proposition [de hausse de 1,75% Ndlr] représenterait pour Air France une dépense cumulée supplémentaire d’environ 150 millions sur cinq ans. Or la situation financière de la compagnie n’a jamais été aussi fragile et l’exercice 2015 s’annonce particulièrement tendu ”, affirment-ils. Le chef du gouvernement va donc devoir trancher entre les intérêts de l’Etat-actionnaire d’Aéroports de Paris et ceux d’Air France et des autres compagnies. Le moins que l’ont puisse dire, c’est que le rapport Le Roux n’a pas fini de faire parler de lui.
www.lesechos.fr 09/02/15.

Air France: Marseille, aéroport le plus touché par le plan de départs.

Air France ouvrira en juin son nouveau plan de départs volontaires, avec l’objectif de supprimer 319 postes dans ses escales françaises, sur les 496 suppressions visées parmi le personnel au sol. La compagnie aérienne avait annoncé le 22 janvier l’ouverture prochaine d’un plan de départs volontaires Air France a détaillé ce plan ce vendredi, en comité central d’entreprise. Elle se fixe pour objectif le départ de 319 équivalents temps plein dans les escales régionales sans correspondance. Pour réussir, le plan de départs devra séduire un peu moins d’une personne sur cinq, ce dont doutent les syndicats. Dans les autres secteurs visés par le PDV, le ratio est en moyenne de un sur dix.
L’aéroport de Marseille est le plus touché.
Les coûts d’escale là où il n’y a pas de correspondance seraient pour Air France supérieurs de 54 % à ceux des prestataires extérieurs. Sur les huit aéroports régionaux visés, Marseille est le plus touché avec 111 postes équivalents temps plein dans le viseur. Viennent ensuite Toulouse (77), Nice (37), Lyon (28), Strasbourg (27), Bastia et Ajaccio (24), puis Nantes (20). Le reste des suppressions de postes concerne Paris ou sa région (148), à Orly surtout, et plus particulièrement au sein de la DGI (62).
Le siège et les fonctions supports sont mis à contribution à hauteur de 39 postes, ainsi que l’activité long et moyen-courrier, avec 47 postes ciblés pour 406 personnes éligibles.
Les plateformes de correspondance (appelées « hub ») seront concernées dans une moindre mesure, une cinquantaine de postes étant menacés.
En province, 16 postes seront également supprimés au sein de la Direction générale industrielle (DGI, maintenance de la flotte) et 13 autres à Toulouse pour les fonctions supports (ressources humaines, communication, informatique…).
http://lexpansion.lexpress.fr 13/02/15.

Conjoncture.

Les créations d’entreprise reculent en janvier (-7,8%).

Les créations d’entreprise reculent en janvier (-7,8%) Après trois mois de hausse, la courbe des créations d’entreprise a sévèrement fléchi en janvier (-7,8%) en raison d’un fort recul des nouvelles adhésions au statut d’auto-entrepreneur.
Les statistiques de la création d’entreprise ont faibli au mois de janvier, après un dernier trimestre où la courbe s’était affichée en hausse constante (+0,3% en octobre, +1% en novembre et +1,5% en décembre). Ce fort recul (-7,8%) est toutefois à relativiser car les entreprises « classiques » ont continué à progresser (+1,2%, soit 380 immatriculations supplémentaires en un mois). C’est dans la catégorie des auto-entrepreneurs que la courbe dévisse : la baisse est lourde (-16,6%) et pèse sur le bilan global qui, tout bien considéré, n’est pas si mauvais. Malgré le repli du nombre d’inscriptions au régime de l’auto-entreprise, passé, de décembre à janvier, de 24 253 à 20 216 (soit 4 000 de moins environ), cette proportion représente encore plus de la moitié des créations (51%).
Moins de créations dans l’industrie
La part des immatriculations en forme sociétaire progresse légèrement de 30,1% à 30,3%, et celle des entreprises individuelles de droit commun, de 18,4% à 18,7%.
Le secteur du soutien aux entreprises reste le secteur le plus prisé par les créateurs (9 530 en janvier 2015), devant le commerce (8 094) et la construction (5 602). Les métiers du transport attirent encore peu de candidats (1 103 en janvier), malgré une très forte hausse en 2014 (+32%), surtout au cours du dernier trimestre (+56%). Ce rythme s’est toutefois cassé en janvier 2015 (-15%).
Légère hausse en revanche dans l’immobilier (+7%), la seule branche activité qui a connu un regain d’intérêt le mois dernier (1 385 immatriculations). Le nombre de création reculé partout, surtout dans l’industrie manufacturière (-16%), le commerce (-11%), les services aux particuliers (-9,3%), l’information et la communication (-7,9%), l’hébergement et la restauration (-8,5%).
www.creation-entreprise.fr 17/02/15.

Economie.

Croissance: la France a fait pire que la Grèce en 2014.

Croissance: la France a fait pire que la Grèce en 2014 Les chiffres de croissance publiés par les services statistiques de la zone euro confirme que la France est en queue de peloton.
La France a réalisé +0,4% de croissance sur l’ensemble de l’année 2014. Un résultat stable par rapport à 2013 et pas si mauvais au regard des sombres de prévisions qui ont émaillé l’exercice précédent marqué par deux premiers trimestres en panne sèche. Reste que l’économie française a le moteur le moins performant en zone euro : seule l’Italie a fait pire qu’elle en 2014, et de loin (-0,4%), un triste bilan qui clôt (?) un cycle de trois années de récession.
La Grande-Bretagne à plein régime.
Devant la France, il y a la Grèce (+0,8%) sauvée par une fin d’année en boulet de canon : selon le service national des statistiques grecques ELSTAT, équivalent de l’Insee français, « le PIB grec a augmenté de 1,7% au quatrième trimestre 2014 sur un an, permettant au pays d’enregistrer son troisième trimestre de croissance consécutif sur un an et confirmant la fin de six années de récession profonde ».
Les Pays-Bas affichent également une meilleure forme (+0,8%) après de douloureuses phases de récession. Grâce à une « reprise de la demande intérieure », le Portugal enregistre une croissance annuelle positive annuelle « pour la première fois depuis 2010 ».
L’Espagne est à +1,4% et l’Allemagne à +1,6%. La zone euro enregistre une croissance moyenne de +0,9% (c’est dire si la France reste en rade).
Pour info, la Grande-Bretagne, qui n’est pas en zone euro, tourne à environ +3%.
www.creation-entreprise.fr 16/02/15.

Législation.

Redressement fiscal : Le conseiller fiscal doit assumer ses erreurs.

Voici une décision de la Cour de cassation qui risque de faire grand bruit au sein des des différents conseillers fiscaux, en effet un contribuable peut maintenant réclamer le remboursement de son redressement fiscal à la société qui l’a mal conseillé.
Le montant de l’indemnisation n’est pas lié à la faute du conseiller ni au montant de la déduction fiscale ratée mais au montant du redressement, assorti d’intérêts, ont décidé les juges.
L’affaire concernait une société de conseil en défiscalisation qui avait conseillé un placement dans des entreprises d’outre-mer répondant à certains critères d’éligibilité. Mais un contrôle fiscal devait révéler que l’entreprise bénéficiaire de l’investissement avait été choisie par erreur dans un secteur non éligible à la déduction fiscale.
Ce dernier avait versé de quoi obtenir une réduction d’impôt sur le revenu de 86.000 €. La société de conseil proposait de trouver une société dans laquelle investir et de gérer l’investissement qui devait être maintenu durant cinq ans.
Mais le redressement s’étant monté à près de 93.000 €, la société de conseil a été condamnée à le rembourser à son client. Les juges n’ont cependant pas estimé que l’investisseur malheureux subissait un préjudice moral.
De nombreuses sociétés proposent des montages de défiscalisation aux contribuables taxés sur le revenu ou sur la fortune et notamment l’investissement outre-mer, ou dans certains types d’immobilier neuf, ou encore dans certaines PME.
www.lesnewseco.fr 09/02/15.

Nouvelles Technologies.

L’e-commerce en forte croissance en 2014 pour les TPE-PME.

Les chiffres de la dernière étude Oxatis-KPMG sont sans appel : la croissance reste le maître mot du e-commerce pour les TPE et PME françaises. Avec 11 000 emplois créés en 2014, 30 000 embauches prévues en 2015, le e-commerce grandit dix fois plus vite que le commerce traditionnel en France et représente 9% du commerce de détail.
Et le e-commerce se développe un peu plus chaque année : 72% des marchands ont aujourd’hui une boutique mobile, 52% vendent déjà à l’international et, contre toute attente, Google n’est pas tout-puissant puisque 61% des e-commerçants français n’utilisent pas les services payants du moteur mondial de recherches. Chez les clients, l’équilibre est presque parfait puisque 51% des marchands vendent uniquement en B to C, contre 49% qui ne s’adressent qu’aux professionnels.
Côté places de marché, sur lesquelles 26% des e-commerçants font des ventes, sans surprise, Amazon (62%) et eBay (57%) restent leaders, devant Cdiscount, qui entre à la 3e place (31%), Le boncoin (18%) et Priceminister (16%).
Enfin, notons que le ROPO (research online/purchase offline) satisfait globalement les marchands : 51% d’entre eux perçoivent entre effet un impact positif du virtuel sur le physique, que ce soit en termes d’amélioration de l’information clientèle (55%), d’augmentation de leur fréquentation (52%) ou de l’augmentation du CA (pour 58% d’entre eux).
www.ecommercemag.fr 10/02/15.

Ressources Humaines.

Recrutement : plus d’une entreprise sur deux y renonce faute de trouver le bon candidat.

59 % des sociétés françaises font une croix sur leur projet de recrutement en moins de deux mois, faute de dénicher le bon profil. C’est ce que rapporte l’enquête du Lab’Ho et Oui ! Le Cercle pour l’emploi.Actuellement en France, près de 500 000 offres d’emploi seraient non pourvues.
L’Observatoire des hommes et des organisations du Groupe Adecco (Lab’Ho) vient de publier une étude intitulée “Recruter autrement”. Celle-ci dévoile qu’en France, plus d’une entreprise sur deux renonce à recruter en moins de deux mois, faute de trouver le bon candidat.Recruteurs et postulants sur la même longueur d’onde ?Les recruteurs semblent conservateurs dans leurs méthodes de travail.
Tandis que 35 % d’entre eux se déclarent prêts éventuellement à utiliser le recrutement sans CV, la méthode séduirait en revanche 71 % des candidats.Trop long !En outre, les recruteurs font preuve d’impatience puisque 32 % d’entre eux souhaiteraient que les embauches soient plus rapides avec un délai idéal de moins de cinq jours.
www.courriercadres.com 10/02/15.

Salaires.

L’évolution des salaires favorable au pouvoir d’achat.

L’évolution des salaires favorable au pouvoir d’achat D’après une estimation provisoire du Ministère du travail, le salaire mensuel de base français a progressé de +0,1% fin 2014, soit plus vite que l’inflation.
Comment détermine-t-on le pouvoir d’achat des français ? En comparant le niveau des revenus à celui des impôts, et en mesurant le rythme de progression des salaires par rapport à la courbe des prix. Ce dernier paramètre a été plutôt favorable aux travailleurs en 2014. L’inflation n’a cessé de ralentir tout au long de l’année, sous l’effet notamment de la chute des cours du pétrole, quand, dans le même temps, la progression salariale s’établissait à +1,4% dans les entreprises du privé comptant au moins dix employés. Au dernier trimestre, l’indice du salaire mensuel de base (SMB), soit l’enveloppe brute déduite des primes et des rémunérations liées aux heures supplémentaires, a évolué positivement (+0,1%) et surtout plus vite que les prix (-0,1%).
Menace de déflation en Europe
Entre décembre 2013 et décembre 2014, la courbe de l’inflation est descendue à zéro et passe désormais en négatif. Ce qui fait craindre aux économistes un risque de déflation, soit une baisse durable des prix sur plusieurs trimestres qui réduirait à néant les espoirs de reprise et ferait replonger la croissance, encore faible en France (+0,4% en 2014, +1% en 2015).
Sur le dernier trimestre 2014, l’indice du salaire horaire de base des ouvriers et des employés (SHBOE) a augmenté de +0,2%. Sur un an, la progression monte à 1,4% sur un an.
« La durée hebdomadaire collective moyenne du travail des salariés à temps complet est restée stable à 35,6 heures à la fin du mois de décembre » signale encore le service statistiques du Ministère du Travail.
Ajoutons que le Livret, dont le taux a été maintenu à +1% en février, rémunère également bien au-delà de l’inflation.
www.creation-entreprise.fr 15/02/15.

Tourisme.

Côte d’Ivoire : le tourisme retrouve du punch.

Un taux de croissance moyen de 43% entre 2011 et 2014, des investissements en milliards de F CFA, le tourisme sort de sa torpeur.
Le ciel touristique s’est bel et bien dégagé pour la Côte d’Ivoire. Si l’on en croit le directeur général de Côte d’Ivoire Tourisme, ce sont 470.869 touristes internationaux qui ont été enregistrés à la fin de l’année 2014. Ils n’étaient que 269.000 en 2011 et 380.000 en 2013. Le taux de croissance moyen pour la période 2011-2014 est ainsi de 43%, un chiffre significatif. De fait, le tourisme apparaît comme « un secteur incontournable du développement économique et des échanges internationaux », dixit les autorités du pays. Et cela se vérifie quand on sait que le tourisme représentait 0,6% du Produit intérieur brut (Pib) en 2011, 2% en 2013 et 4,3 à la fin de l’année 2014.
Des investissements conséquents du secteur privé
Selon Jean-Marie Somet, directeur général de Côte d’Ivoire Tourisme, « les investissements globaux du secteur privé de 2012 à 2014 sont estimés à environ 140 milliards de F CFA ». Leur destination :
« La construction de 114 réceptifs hôteliers de moyens standing de 1 à 3 étoiles pour une capacité de 14.315 chambres ». « Ces importants investissements ont contribué à la création de 3.000 emplois directs et 9.000 indirects », a-t-il poursuivi. Fort de ces indications plus qu’encourageantes, Côte d’Ivoire Tourisme organise du 19 au 22 février un Educ-Tour dans la région du Sud-ouest ivoirien (San Pedro, Sassandra et Grand-Béréby) à l’attention du personnel de la Banque africaine de développement (BAD). L’objectif est clair : « Faire découvrir les potentialités en matière touristique de ces villes ». Dans le sillage de la victoire des Éléphants, il semble que la Côte d’Ivoire qui gagne est de retour
http://afrique.lepoint.fr 17/02/15.

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