Revue de presse économique du 30 novembre 2014
Économie & Tourisme
Revue de Presse Économique
20 au 30 novembre 2014
Aérien.
Les vols domestiques d’Air France bientôt sous la bannière Hop!
Un mois après la fin de la grève dure de ses pilotes, Air France poursuit sa réorganisation. A compter d’avril 2015, les vols domestiques de la compagnie aérienne française, à l’exception des vols alimentant la plateforme de correspondances de Roissy-Charles de Gaulle, tous les vols à destination de la province ou de Paris Orly seront regroupés chez Hop!, la filiale régionale du groupe. Objectif affiché: gagner en réactivité commerciale et en flexibilité pour mieux supporter la concurrence grandissante, non seulement du train et du low cost, mais également celle du covoiturage.
140 millions d’euros de pertes.
L’offre court-courrier sera commercialisée sous la marque unique « Hop! Air France », a dévoilé la compagnie dans un communiqué jeudi soir. Hop!, née de la fusion en janvier 2013 entre les trois compagnies régionales Airliner, Brit Air et Régional, opère actuellement 510 vols quotidiens. Son activité passera donc à environ 800 vols par jour à partir de la prochaine saison « été » (avril-octobre), indique la compagnie.
Ce projet, présenté en Comité central d’entreprise, avait été préconisé par le groupe d’experts dans un rapport remis le 30 juin, rappelle la direction. L’activité court-courrier (dite « point à point »), qui emploie 4.200 personnes, a généré 1,7 milliard d’euros de chiffres d’affaires en 2013 et compte 15 millions de clients passant par 13 escales. Pour autant, elle reste largement déficitaire. La perte d’exploitation devrait encore atteindre 140 millions d’euros (hors grève des pilotes de septembre) cette année contre 220 millions l’an passé. Avec cette nouvelle organisation, le groupe espère retrouver la rentabilité « dans les trois ans ».
Aucun changement dans les contrats de travail.
« La direction assure qu’il n’y aura aucun changement dans les contrats de travail. L’ensemble des avions Hop! seront traités par du personnel Air France dans les escales Air France », explique-t-on de source syndicale. Les équipes d’encadrement et commerciales seront regroupées près de Paris, à Montreuil (Seine-Saint-Denis), a également précisé la compagnie.
L’ensemble de l’activité domestique passera sous la responsabilité de Lionel Guérin, PDG de Hop! qui avait présidé le groupe d’experts. En récupérant la gestion complète du point-à-point, ses équipes pourront choisir le type d’avion, A320 ou avion régional, le mieux adapté à la demande, selon la destination et l’horaire pour optimiser le taux d’occupation des appareils et éviter que des A320 ne volent « à vide » à certains moments de la journée et donc à pertes.
La flotte Hop! Air France comptera une centaine d’avions dont une quarantaine d’Airbus A320 d’Air France et une soixantaine d’avions régionaux (des ATR, Bombardier et des Embraer) de Hop! « Pour l’heure, il n’est pas prévu de repeindre les avions Air France aux couleurs de Hop! », a précisé un porte-parole.
http://lexpansion.lexpress.fr 20/11/14.
Conjoncture.
Les défaillances d’entreprises sont attendues à un niveau record cette année.
Faute de croissance, le nombre de défaillances d’entreprises poursuit sa hausse en France et atteint même un niveau record, selon une étude réalisée par Euler Hermès… L’assureur-crédit estime qu’elles devraient progresser de 1% pour s’établir à 63.400 en 2014 et 2015, soit un niveau plus élevé que celui atteint en pleine crise financière (62.714 cas en 2009).
Les petites structures restent les plus exposées au risque de fermeture, même si les grands groupes ne sont pas en reste. Le nombre de défaillances des PME dont le chiffre d’affaires est compris entre 250.000 et 2 millions d’euros a progressé de +3,7% en 2014 – données à fin septembre sur 12 mois – après avoir bondi de 7,2% en 2013 (21% à 13.000 par an environ). Euler Hermès a par ailleurs recensé la faillite de 180 entreprises dont le chiffre d’affaires dépasse les 15 millions d’euros. Un nombre en hausse constante depuis 10 ans.
L’étude recense également les secteurs les plus touchés par les défaillances. Il en ressort que « l’hébergement et restauration, ainsi que la construction connaissent un rebond préoccupant des défaillances en 2014 ». Dans un contexte de baisse des dépenses publiques et d’une instabilité réglementaire, la construction représente en effet à elle seule un quart des des faillites. Pas plus tard qu’hier, la Fédération des promoteurs immobiliers a alerté sur cette situation.
Le retournement de situation n’est pas pour tout de suite… Euler Hermès estime qu’il faudrait une croissance d’au moins +1,7% pour escompter un mouvement de baisse des défaillances. Or, le gouvernement vise un PIB de seulement +1% en 2015, après +0,4% en 2014. La Commission européenne se montre encore plus pessimiste avec des prévisions de +0,7% l’an prochain et +1,5% en 2016 contre seulement +0,3% cette année…
www.boursier.com 22/11/14.
3 milliards en moins sur les Livrets A en octobre.
Avec un taux d’intérêt réduit à 1% depuis août, le Livret A séduit encore pour sa sécurité mais rebutent les épargnants prompts à fructifier leur capital ailleurs. En septembre, 2,37 milliards d’euros avaient été retirés du premier produit d’épargne français. La « fuite » s’est encore accélérée en octobre (2,93 milliards), annonce la Caisse des Dépôts et Consignation qui collecte ces fonds, essentiellement reversés dans le logement social (Le LDD a perdu 880 millions d’euros en octobre).
Transferts vers l’Assurance-vie.
Où va tout cet argent ? Mécaniquement, c’est l’assurance-vie qui en profite. Ce support est moins avantageux fiscalement mais il propose un rendement supérieur. 2,1 milliards d’euros ont été investis sur les contrats d’assurance-vie en septembre, 17,4 milliards depuis le début de l’année, un niveau qui dépasse l’ensemble des dépôts comptabilisés en 2013 (10,7 milliards).
Avant prélèvements sociaux, les fonds en euros, qui représentent 85% des encours d’assurance-vie), ont généré des intérêts de 2,8% en moyenne.
«Le montant de la décollecte du Livret A s’élève à 7% de l’ensemble de la collecte des deux dernières années» observe la CDC. Ces deux dernières années, le Livret A, qui proposait encore un taux de rémunération à 2,25 % (en 2012) puis 1,25% (en 2013) avait connu un afflux exceptionnel de 67 milliards d’euros « notamment liée au relèvement de son plafond». En mois d’un an, celui-ci est passé de 15 300 euros à 22 950 euros.
www.creation-entreprise.fr 24/11/14.
Emploi.
L’intérim toujours en crise.
Le dernier baromètre Prism’Emploi qui mesure la situation du secteur de l’intérim préface amèrement les chiffres du chômage (pour le mois d’octobre) qui seront annoncés demain par le Ministère du Travail : depuis toujours, l’offre intérimaire, qui permet de dégager les grandes tendances présentes et à venir du marché du travail, sert de pouls aux prévisionnistes. Le fait est que les dernières tendances sont mauvaises : en septembre déjà, les contrats intérim avaient baissé de 2%. La spirale négative s’est encore accélérée en octobre (-2,9%), signale Prism’Emploi.
Crise pour les ouvriers qualifiés.
La chute est très lourde dans le secteur du bâtiment (-20,6%) quasiment à l’arrêt malgré le plan d’urgence présenté à la rentrée par le premier ministre Manuel Valls. La situation est surtout préoccupante dans le neuf où le bilan de mises en chantier est, selon les chiffres livrés par le ministère de l’Environnement, en panne sèche (-11,4%). Les métiers du transport s’en tire un peu mieux mais le niveau d’intérimaire recule toujours (-0,5%), alors qu’il se maintient péniblement dans l’industrie (+0,1%, après +0,9% en septembre) et augmente même dans les services (+1,9%).
Prism’Emploi va plus dans le détail encore, et annonce que la catégorie socio-professionnelle englobant les ouvriers qualifiés est la plus marqué par un recul des recrutements en intérim (-15,1%).
Ces postes représentent toujours le tiers de l’effectif intérimaire en France. a l’inverse, ces embauches temporaires progressent de +6,7% pour les ouvriers non qualifiés, de +3,6% et +7,2% pour les cadres et professions intermédiaires.
www.creation-entreprise.fr 27/11/14.
Entreprise.
Voyages d’affaires : 60 % des entreprises sont en retard dans la gestion des risques.
Selon une étude publiée par Concur*, plus de 60 % des entreprises sont en retard dans la mise en œuvre des politiques de gestion des risques liés aux déplacements professionnels. Beaucoup d’entreprises doivent encore progresser quant à la gestion du risque des collaborateurs en déplacement professionnel, selon une enquête de Concur*.
Rester au courant.
Parmi les entreprises les plus performantes, seule la moitié offrent un accès mobile en temps réel aux informations sur les voyages. Tandis qu’à peu près la même proportion utilise les appareils mobiles pour communiquer et rester connectée avec leurs employés lors de situations à risque (par exemple pour la sécurité du collaborateur). D’ailleurs, 30 % des entreprises demandent à leurs voyageurs de rester au courant des événements en cours et de la situation du pays dans lequel ils sont.
www.courriercadres.com 26/11/14.
Ressources Humaines.
Les français travaillent moins le samedi mais plus le dimanche.
Les français travaillent moins le samedi mais plus le dimanche Selon une étude de l’Insee, le travail dominical tend (doucement) à se démocratiser. 17% des français indiquent travailler au moins une heure ce jour-là.
Où en est le travail dominical en France ? Le débat est monté d’un cran ces dernières années sous l’impulsion des organisations patronales et de certains commerçants, gros ou petits, qui en font un levier de compétitivité pour l’économie française en panne.
La réglementation a été ajusté ces dix dernières années mais elle reste complexe : dans les faits, les ouvertures dominicales ne sont autorisées que dans des zones répondant à des critères précis, notamment liée à une forte activité touristique. Jusqu’à cinq dérogations peuvent être accordées chaque année, mais ce sont les maires qui restent maîtres de ces autorisations.
Les indépendants sont des travailleurs du dimanche
Dans les mœurs, le travail du dimanche évolue aussi, mais doucement. Selon une étude réalisée par l’Insee, de plus en plus de français dérogent à la sacro-sainte règle du repos dominical : en 2010, 17% d’entre eux indiquaient au moins travailler plus d’une heure ce jour-là (+3 points par rapport à 1986). Le travail du samedi reste majoritaire (30%) mais cette proportion a baissé de 6 points sur les 25 dernières années. A l’inverse, « 31% des personnes en emploi en 2010 » travaillaient « de manière habituelle ou occasionnelle le dimanche » note l’Insee.
C’est particulièrement vrai chez les travailleurs indépendants : 54% d’entre eux affirment désormais travailler plus d’une heure sur un des deux jours du week-end. Ils n’étaient que 35% en 1986. La tendance progresse plus lentement chez les employés (29% en 2010, contre 25% 25 ans plus tôt).
www.creation-entreprise.fr 20/11/14.
Social.
Le taux de grèves à son plus bas niveau depuis 2008 en France.
Le nombre d’entreprises françaises touchées par une grève a atteint en 2012 son plus bas niveau depuis le début de la crise en 2008, selon les dernières données du ministère du Travail publiées mercredi. En 2012, 1,3% des entreprises ont connu au moins une grève, tous secteurs confondus, relève l’étude, qui note un recul de 0,5 point par rapport à 2011.
La part d’entreprises touchées par ces mouvements sociaux atteint en 2012 «son niveau le plus faible depuis le début de la crise en 2008», conclut la Dares, service des statistiques du ministère. Le pic date de 2010, année de la réforme des retraites, au cours de laquelle 3,3% des entreprises avaient connu au moins une grève.
L’industrie reste le secteur d’activité le plus touché.
Comme pour les autres années, cette proportion a varié «fortement» en 2012 selon la taille des entreprises: de 0,3% pour celles de 10 à 49 salariés à 28% dans celles employant au moins 500 salariés. L’écart peut s’expliquer par le fait que, parmi les premières citées, seulement 4% sont pourvues de délégués syndicaux.
Moins nombreuses, les grèves durent également moins longtemps, d’après la Dares, qui se fonde sur le nombre moyen de journées individuelles non travaillées pour fait de grève (JINT). «Là où il y a eu des mobilisations, elles ont été plus courtes et/ou ont concerné moins de salariés», avec 60 JINT pour 1.000 salariés en 2012, contre 77 l’année précédente.
L’industrie reste le secteur d’activité le plus touché par les mouvements de grèves, avec 2,6% de ses entreprises ayant connu au moins un conflit, devant les services (1,8%), le commerce (0,6%) et la construction (0,2%). Cependant, ce pourcentage faiblit d’année en année: la part d’entreprises ayant connu au moins une grève était, pour l’industrie spécifiquement, de 5,4% en 2010 et 4,5% en 2011.
Une «progression des grèves liées à l’emploi».
Tous secteurs confondus, les rémunérations constituent toujours la principale revendication des grévistes (55%), une proportion quasiment stable comparée à 2011 (53). En revanche, le ministère du Travail a noté une «progression des grèves liées à l’emploi» qui, avec 22%, fait un bond de 8 points par rapport à l’année précédente. Viennent ensuite les conditions de travail et le temps de travail.
Cette hausse s’explique par «un contexte d’intensification du recours aux plans de sauvegarde de l’emploi (PSE) et aux licenciements économiques», selon les auteurs de l’étude. Enfin, le rapport note que «le taux de grève est nettement plus élevé dans les entreprises qui ont ouvert au moins une négociation» dans l’année avec leurs salariés. De l’ordre de 81,6%, «contre 18,4% dans celles qui n’en ont pas ouvert». Deux raisons sont avancées : soit peser sur l’issue des négociations en cours, soit réclamer leur ouverture
www.20minutes.fr 27/11/14.
Sociétal.
Plus d’un tiers des Français tentés par l’entrepreneuriat.
L’entrepreneuriat séduit en France. Selon un sondage, plus d’un tiers des Français interrogés (37 %) affirment qu’ils auraient envie de créer leur société s’ils en avaient la possibilité. Néanmoins, seule une minorité (10 %) confie avoir un projet concret, selon une étude publiée dimanche par le cabinet Idinvest avec ViaVoice.
L’envie d’entreprendre procède d’abord du désir « d’être libre et indépendant », pour 51 % des personnes interrogées, suivi de l’envie de « s’épanouir personnellement » (46 %), alors que le désir de « gagner de l’argent » arrive seulement en troisième position (33 %). Parmi les valeurs personnelles qui guident ce désir figurent le « respect des gens » (46 %), le « courage, l’effort » (34 %) et « la valeur travail » (33 %).
Chez les étudiants, le pourcentage de personnes déclarant avoir envie d’entreprendre monte à 49 %.
En revanche, 57 % des sondés disent ne pas avoir envie de créer leur entreprise et 6 % ne se prononcent pas. Les profils ayant la plus forte envie d’entreprendre sont des hommes, des cadres ou des employés, d’une moyenne d’âge de 43 ans et résidant en Ile-de-France. « S’il existe certes des écarts d’intention entre les groupes sociaux, ceux-ci ne sont pas structurants, car 51 % des cadres auraient envie d’entreprendre, contre 44 % des employés et 35 % des ouvriers », souligne Idinvest.
Parmi les facteurs de passage à l’acte figurent « l’identification d’un marché porteur » (29 %), le sentiment de pouvoir « capitaliser sur une expérience professionnelle adaptée » (26 %) et de « détenir une idée prometteuse » (22 %). Parmi les contraintes susceptibles de contrevenir à l’élaboration d’un projet figurent la conjoncture économique peu encourageante (37 %), le manque de fonds (33 %) et la complexité des démarches (21 %). « L’envie d’entreprendre n’est réductible ni à des critères scolaires, ni à des grilles de l’Insee, ni à des agrégats macroéconomiques. Elle est tissée de désirs spécifiques et de valeurs personnelles, et à ce titre est imparfaitement prise en compte et encouragée par les pouvoirs publics et les discours politiques », souligne François Miquet-Marty, président de ViaVoice, dans son communiqué.
www.lepoint.fr 24/11/14.
Tourisme.
Amazon pourrait se lancer très prochainement dans le tourisme.
Jeff Bezos est un véritable touche à tout et si l’homme a fait fortune en se lançant sur le marché de la vente en ligne dans les années 90, son entreprise est désormais présente sur de nombreux secteurs différents.
Elle vend même des liseuses, des téléphones et des tablettes, c’est pour dire !
Et aujourd’hui, selon le site Skift, Amazon envisagerait de se lancer dans le tourisme avec un nouveau portail dédié au tourisme. Un portail qui permettrait même aux internautes de réserver leur chambre d’hôtel en ligne.
Dans un premier temps, Amazon Travel se concentrerait sur quelques grandes villes américaines pour tester son concept, et plus précisément sur New York, Los Angeles et Seattle. Le géant se serait même rapproché de plusieurs hôtels indépendants pour leur soumettre son projet. Des hôtels qui auraient été sélectionnés en fonction des notes laissées par leurs clients sur Trip Advisor.
Ces informations sont évidemment à prendre avec prudence mais un extranet pourrait aussi voir le jour en parallèle pour permettre aux hôtels d’enregistrer et de mettre à jour leur fiche. Grâce à cet outil, ils pourraient notamment gérer leurs réservations en ligne et saisir tous leurs tarifs.
Amazon aurait opté pour un modèle économique assez simple, consistant à prélever une commission de 15% pour chaque transaction effectuée par le biais de son service.
En marge de ces fonctionnalités, Amazon Travel pourrait aussi mettre en avant des lieux à visiter et des attractions mais il faudra attendre l’annonce officielle pour en avoir le coeur net. D’après les informations dont on dispose, le lancement de ce service serait programmé pour le début de l’année prochaine.
Une chose est sûre en tout cas, le géant américain n’aurait pas l’intention de se substituer aux agences de voyages traditionnelles et il ferait ainsi l’impasse sur le transport.
Du moins pour le moment.
www.presse-citron.net 21/11/14.
Des loisirs au point mort.
L’Insee a publié son nouvel opus, «France, portrait social», l’occasion d’éclairer certaines pratiques des Français…
En 2013, les ménages français consacrent 8,3% de leur budget aux loisirs, le plus bas niveau depuis 1985, poursuivant une tendance baissière entamée en 2007. La faute à la crise mais pas que: la baisse des prix des produits culturels (-1,1% entre 2007 et 2013) joue son rôle. Cinéma, concerts, théâtre, musée représentent 35% de ces dépenses, suivies par l’achat de matériel de loisir ou pour les animaux de compagnies (24%), les dépenses consacrées au matériel audio-vidéo-photo (20%). En queue de peloton, les journaux, livres et papeterie qui représente 14%. La catégorie sociale influe également sur les comportements: 82% des cadres sont allés au moins une fois dans l’année au cinéma contre 67% pour les employés et 55% pour les ouvriers.
www.20minutes.fr 20/11/14.