Revue de presse économique du 20 décembre 2013
Économie & Tourisme
Revue de Presse Économique
10 au 20 Décembre 2013
Aérien.
Trafic Aéroports de Paris: +1% novembre.
Les aéroports de Paris, Charles de Gaulle et Orly, ont enregistré le mois dernier une hausse de trafic de 1%, avec 6,7 millions de passagers accueillis.
Le trafic d’Aéroports de Paris est en hausse de 1,0 % par rapport au mois de novembre 2012, avec 4,6 millions à Charles de Gaulle (-0,1%) et 2,1 millions à Orly (+3,5%). ADP précise dans son communiqué que le trafic en France est stable, et que celui en Europe (hors France) est en léger retrait (-0,3%). Le trafic international (hors Europe) progresse de 2,9% : à l’exception de l’Afrique (-0,3%), tous les faisceaux sont en croissance : DOM-COM (+9,4%), Amérique Latine (+4,6%), Amérique du Nord (+4,3%), Asie-Pacifique (+2,6%) et Moyen-Orient (+2,6%). Le nombre de passagers en correspondance augmente de 2,7%, le taux de correspondance s’établissant à 25,9 %, en hausse de 0,3 point.
Depuis le début de l’année, le trafic d’Aéroports de Paris est en croissance de 1,4 % avec un total de 83,3 millions de passagers (57,23 à CDG, 26,03 à Orly).
www.air-journal.fr 16/12/13.
Statistiquement, en volant tous les jours, il faudrait 6.500 ans pour qu’un voyageur ait un accident d’avion (Iata).
Contrairement aux affirmations de certains experts des années 90, qui prévoyaient une hécatombe dans le ciel de manière mécanique avec l’explosion du trafic aérien, il n’en est rien. Au contraire, alors que le trafic double en gros tous les 15 ans et que le seuil des 3 milliards de passagers aériens transportés va être franchi en 2013, la sécurité reste à des niveaux extrêmement élevés. Au cours des onze premiers mois de l’année, 11 accidents (d’avions à réactions occidentaux de type Airbus, Boeing, Bombardier…), contre 5 au cours de la même période 2012. Soit un accident pour 2,4 millions de vols effectués (52 avions décollent dans le monde toutes les minutes). Autrement dit, explique l’Iata, « quelqu’un prenant l’avion tous les jours pourrait voler pendant 6.500 ans sans avoir d’accidents ».
Le nombre de personnes ayant perdu la vie en avion a quant à lui baissé. Depuis janvier il s’est élevé à 210, contre 402 au cours de la même période de l’année dernière. « Bien sûr, c’est 210 de trop et chaque accident et décès pousse l’aviation à faire encore mieux. Mais transporter trois milliards de passagers en sécurité à 40.000 pieds dans des tubes en métaux et en fibres de carbone constitue une incroyable validation de l’engagement du secteur pour la sécurité », a déclaré la semaine dernière à Genève Tony Tyler, le président de l’Iata, l’association internationale du transport aérien, lors d’une rencontre avec la presse.
Ces statistiques ne concernent que les avions à réactions « occidentaux », en gros Airbus, Boeing, Bombardier et Embraer et (non les avions chinois ou russes ou encore les turbopropulseurs). Ces avions ne sont impliqués que dans 15% des accidents à l’échelle du globe. En prenant en compte tous les accidents incluant donc les avions russes chinois et les turboprop, Iata a recensé, au cours des 11 premiers mois de l’année, un accident tous les 2,18 millions de vols, un niveau identique à celui de l’an dernier (2,14). A la traîne en termes de sécurité, l’Afrique a vu ses performances s’améliorer fortement avec 8,36 accidents par million de vols, quasiment deux fois moins qu’en 2012.
www.latribune.fr 17/12/13.
Conjoncture.
Malgré la crise, les Français dépensent toujours plus en smartphones et Internet.
«Depuis 30 ans, le moral de la population n’a jamais été aussi dégradé» et deux personnes sur trois «déclarent s’imposer régulièrement des restrictions sur plusieurs postes de leur budget», indique en préambule le Centre de recherche pour l’étude et l’observation des conditions de vie (Crédoc). Et pourtant, «il est frappant de constater que les consommateurs parviennent à dégager des marges de manœuvre pour financer leur acquisition d’équipements électroniques et les abonnements téléphoniques et internet afférents», selon cette enquête intitulée «Conditions de vie et aspirations des Français». Ainsi, les équipements en ordinateur, téléphone fixe, mobile, tablette ainsi que les abonnements internet, téléphonie et télévision sont en nette progression: 83% des 12 ans et plus disposent d’un ordinateur à domicile, et 81% sont connectés à internet (+2 points et +3 points respectivement en un an). Et 36% possèdent même plusieurs ordinateurs dans leur foyer (+1 point). La progression de l’équipement en tablettes tactiles est lui «spectaculaire» et a plus que doublé en un an, passant de 8% à 17%. De même, 91% des personnes résidant en France disent posséder un téléphone fixe, et une proportion maintenant presque équivalente détient un téléphone portable (89%, +1 point). «Ici aussi, les nouveaux outils affichent une croissance qui détonne par rapport au contexte: 39% des Français sont équipés d’un smartphone en 2013, contre seulement 17% il y a deux ans», souligne le Credoc.
Lorsqu’on cumule les différentes possibilités de se connecter à internet – à domicile, avec son mobile, un ordinateur ou une tablette, dans un lieu public ou au travail – «on dénombre finalement 82% de la population qui utilisent internet en juin. Rappelons qu’en 2005, seule une personne sur deux était internaute». Le Credoc indique que les personnes qui n’utilisent pas internet appartiennent à des catégories bien spécifiques: 78% d’entre elles ont plus de 60 ans, 90% n’ont pas le Bac et 44% disposent de revenus inférieurs à 1.500 euros par mois dans leur foyer.
www.lefigaro.fr 10/12/13.
Pouvoir d’achat, la France se situe entre l’Allemagne et la Finlande.
Avec un pouvoir d’achat de près de 20.000 euros par habitant et par an, la France se situe entre l’Allemagne et la Finlande mais connaît des disparités régionales, les Franciliens disposant du plus fort revenu disponible, selon le groupe d’études de marché GfK publiée vendredi.
En France, le pouvoir d’achat par habitant, mesuré après déduction des taxes, s’élève précisément à 19.565 euros. Elle se situe en 9e position parmi les 42 pays d’Europe étudiés par GfK en 2013.
Loin devant, le pays au meilleur pouvoir d’achat est le Lichtenstein (58.844 euros), suivi de la Suisse (36.351), de la Norvège (31.707) et du Luxembourg (28.185).
Le pouvoir d’achat moyen en France est 1,5 fois supérieur au pouvoir d’achat moyen européen, qui s’élève à 8.622 euros.
Dans l’Hexagone, l’étude note des variations selon les régions. A elle-seule, l’Ile-de-France concentre près d’un cinquième de la population et 22% du revenu disponible. Un Francilien dispose de presque 20% de plus que le citoyen français, soit 23.334 euros.
Outre l’Ile-de-France, les régions les mieux dotées en pouvoir d’achat sont Rhône-Alpes, l’Alsace, Provence-Alpes-Côte d’Azur et le Centre.
www.voila.fr 13/12/13.
Le revenu agricole a baissé de 16% en France en 2013.
Le revenu agricole a baissé dans l’UE de 1,3% en 2013, tiré vers le bas par la France, qui enregistre à -16,4% une des plus fortes chutes sur les treize pays en recul, a indiqué vendredi la Commission européenne.
Seule l’Estonie fait pire, avec une chute de 17,2% du revenu agricole par actif, selon ces premières estimations de l’office européen des statistiques Eurostat.
L’agriculture européenne a pour l’essentiel été pénalisée par une baisse des cours des graines oléagineuses (-15,4%) et des céréales (-13,7%), alors que le coût des intrants (nourriture animale, entretien du matériel et stocks de semences et plants) augmentait de 0,8%.
Les autres grands perdants de l’année 2013, qui renverse la tendance après trois ans de hausse du revenu agricole européen, sont les agriculteurs croates (-16,2%) et allemands (-10%).
La diminution de 1,3% au niveau européen résulte « d’une baisse du revenu agricole réel, de 2,1%, accompagnée d’une réduction de la main d’œuvre agricole, de 0,9% », précise Eurostat.
La valeur de la production agricole est ainsi restée quasi-stable (+0,1%), freinée par le recul de la valeur de la production végétale (-1,1%), dont les prix ont baissé de 3,7%.
Ce recul a été compensé par la hausse de 1,5% de la valeur de la production animale, tirée par une progression des cours surtout pour le lait (+5,8%) et la volaille (+2,7%).
Les revenus agricoles avaient augmenté de 1% en moyenne en 2012.
ww.challenges.fr 16/12/13.
Économie.
La hausse de la TVA aurait un impact limité sur l’inflation.
La hausse de la TVA au 1er janvier en France pourrait avoir un impact de 0,4 à 0,5 point de pourcentage sur le taux d’inflation, concentré sur le seul mois de janvier, estiment des économistes de la Banque de France.
Dans une étude publiée dans le bulletin mensuel de la banque diffusé mercredi, ils soulignent que, « dans le contexte actuel d’inflation modérée (proche de 1%), l’effet de ces changements de TVA ne présenterait pas de risque majeur pour la stabilité des prix. »
Le taux « normal » de TVA passera de 19,6% à 20% au 1er janvier et le taux dit « intermédiaire » sera relevé de 7% à 10%, ces hausses devant contribuer au financement du crédit d’impôt compétitivité emploi pour les entreprises. Le taux réduit appliqué aux produits de première nécessité restera à 5,5%.
Le taux normal couvre environ 55% des produits de l’indice des prix de l’Insee, dont la quasi-totalité des produits manufacturés, l’alcool et le tabac, l’énergie et un quart des services.
Le taux intermédiaire s’applique lui à près de 15% de l’indice, en particulier à certains services (restauration, travaux d’amélioration du logement, services de transport ou culturels) et à quelques biens comme les produits de santé non remboursés.
Dans l’hypothèse où les hausses des deux taux seraient intégralement répercutées sur les consommateurs, leur impact sur l’inflation serait légèrement inférieur à 0,6 point (un peu moins de 0,2 point pour le taux normal et de 0,4 point pour le taux intermédiaire) de pourcentage, soulignent les économistes.
Mais ils font valoir aussi, en étudiant les hausses intervenues ces dernières années dans d’autres pays européens, que le contexte de crise économique fait qu’elles n’ont été semble-t-il que partiellement transmises à l’inflation, les entreprises en absorbant une partie dans leurs marges.
Dans le cas français, ils notent que, en moyenne, les hausses de TVA intervenues depuis 1995 ont été répercutées à hauteur de 70% à 80% sur les prix TTC.
Les auteurs de l’étude ajoutent que les entreprises des secteurs à forte concurrence devraient elles intégrer dans leurs prix les baisses de coûts occasionnées par le CICE, ce qui devrait en partie compenser les hausses de TVA.
Pour ces raisons, ils estiment que l’impact effectif des hausses du 1er janvier « pourrait n’être que de 0,4 point de pourcentage d’inflation supplémentaire ».
www.challenges.fr 19/12/13.
Emploi.
15.600 Emplois détruits au 3e trimestre.
-0,1%: l’Institut national de la statistique (Insee) a confirmé mercredi le recul de l’emploi salarié dans les secteurs marchands non agricoles en France au troisième trimestre. L’Insee révise toutefois à 15.600, contre 17.000 en première estimation, le solde net de postes détruits sur la période.
En revanche, l’Insee a revu à la hausse le nombre de postes détruits au deuxième trimestre, à 37.700 contre 34.600 dans sa précédente publication.
Au total, sur les douze mois à fin septembre, 132.500 emplois ont été détruits dans le privé en France. Le recul du troisième trimestre provient de l’industrie (-0,5%) et de la construction (-0,5%), l’emploi dans les services restant quasi stable (+5.600 postes).
L’emploi intérimaire, qui avait rechuté au deuxième trimestre après avoir mis fin au premier à une baisse ininterrompue depuis mi-2011, est reparti en hausse (+1,0%). Sur un an, il enregistre une progression de 0,6% de ses effectifs.
Hors intérim, l’emploi marchand a perdu 20.600 postes au troisième trimestre, après 34.400 au deuxième trimestre.
www.latribune.fr 11/12/13.
Législation.
L’action de groupe mise sur les rails.
Trente ans que les gouvernements, de droite comme de gauche, tentent de mettre en place une action de groupe à la française. Avec le projet de loi de Benoît Hamon, le dispositif voit enfin le jour. Certes, c’est beaucoup moins ambitieux que ce qu’avait promis François Hollande pendant sa campagne (les domaines de la santé et de l’environnement ont été pour l’heure écartés).Mais la mécanique est toutefois en place. Désormais, il sera possible à plusieurs consommateurs ayant subi un préjudice matériel ou concurrentiel de se regrouper pour aller devant la justice. Mais pas n’importe comment. Les plaignants devront passer par le filtre d’associations de consommateurs agréées pour porter l’action en justice. En réalité, une action en représentation conjointe est déjà possible en droit français, mais elle suppose de recueillir des mandats auprès de chaque consommateur sans possibilité de faire de publicité.
Avec le nouveau dispositif, une publicité, certes encadrée, a été prévue, de manière à pouvoir toucher l’ensemble des consommateurs concernés. Mais on reste sur le système de l’« opt-in » (il faut faire la démarche volontaire pour faire partie de l’action de groupe) et non sur l’« opt-out » (tous les consommateurs, y compris ceux qui n’ont rien demandé, peuvent en bénéficier). Le gouvernement a été attentif à ne pas franchir cette ligne rouge, considérée comme un casus belli par les entreprises. Autre chiffon rouge agité par le Medef : les dommages et intérêts punitifs (sanction financière au profit de la victime en sus de la réparation du préjudice qu’elle a subi).Une option écartée par le gouvernement.
www.lesechos.fr 16/12/13.
Salaires.
Augmentations salariales : les grandes entreprises revoient leurs budgets à la baisse.
Face à un climat toujours morose, les grandes entreprises ont revu leurs budgets augmentations à la baisse pour 2014. C’est ce que révèle l’enquête Towers Watson “Tendances 2014 – Gestion des effectifs et des salaires”. L’étude menée par le cabinet de conseil Towers Waston rapporte que les grandes entreprises françaises diminuent leurs enveloppes d’augmentations salariales escomptées cet été. Estimé à 2,8 % au mois de juillet, le taux moyen d’augmentation des salaires bruts pour 2014 devrait finalement s’établir à 2,3 %.Recrutement à la baisse. Les grandes entreprises vont également revoir à la baisse leurs budgets de recrutement puisque plus de la moitié (52 %) prévoient une diminution (40 % envisagent de les maintenir).Du cas par cas. En revanche, 76 % des entreprises interrogées déclarent maintenir leur enveloppe de rémunération variable individuelle. Une attitude qui “illustre le fait que les entreprises souhaitent mettre toujours davantage l’accent sur la rétribution à la performance”, selon Armelle Prokop, responsable du département rétributions chez Towers Watson.
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www.courriercadres.com 12/12/13.
SMIC : une hausse a minima en janvier (+1,1%).
Comme prévu, le SMIC ne bénéficiera d’aucun coup de pouce en janvier prochain. Sa revalorisation suivra uniquement la courbe de l’inflation (+1,1%).
Pas de miracle pour le salaire minimum : son montant ne sera relevé que de +1,1%, un niveau indexé sur la courbe des prix. Cette annonce a été faite ce matin par le ministre du Travail Michel Sapin qui n’a pas pipé mot sur l’éventualité d’un « coup de pouce » gouvernemental.
Si ce barème est retenu, le SMIC horaire passera de 9,43 € bruts aujourd’hui à environ 9,53 € à compter du 1er janvier prochain, soit environ 1 445 € mensuels (bruts également).
www.creation-entreprise.fr 13/12/12.
Tourisme.
Las Vegas Sands renonce à un projet de casinos à Madrid.
L’opérateur américain Las Vegas Sands a renoncé à investir plus de 30 milliards de dollars dans un projet de casinos dans la banlieue de Madrid, provoquant la déception en Espagne où ce programme devait contribuer à raviver l’économie.
Las Vegas Sands a indiqué qu’il allait désormais privilégier son développement en Asie.
Le gouvernement espagnol a dit avoir rejeté certaines requêtes présentées par le groupe américain qui souhaitait notamment la mise en place d’un mécanisme par lequel il aurait reçu des dédommagements en cas de modification de la législation.
« De nouvelles conditions ont été avancées, sur la question des taxes et de la protection juridique (…), elles n’ont pas pu être acceptées par les administrations concernées », a déclaré la vice-présidente du gouvernement Soraya Sáenz de Santamaria lors d’une conférence de presse à l’issue du conseil des ministres.
« Le gouvernement doit préserver l’intérêt général de tous les Espagnols. »
Le projet, baptisé Eurovegas, prévoyait la construction de six casinos, douze hôtels et de nombreux commerces, et aurait pu créer jusqu’à 250.000 postes, un bol d’air pour une économie confrontée à un taux de chômage de près de 25%.
Il s’est toutefois heurté à une série d’obstacles au cours des derniers mois.
Le directeur général de Las Vegas Sands, l’homme d’affaires Sheldon Adelson, réclamait notamment d’être exempté de l’interdiction de fumer dans les lieux publics, ce qui avait provoqué des frictions entre les responsables politiques de la région de Madrid, soucieux de voir le projet aboutir, et le gouvernement central.
L’abandon du projet constitue un nouvel échec pour la capitale espagnole, privée cette année de l’organisation des Jeux olympiques d’été 2020, confiée à Tokyo.
www.challenges.fr 13/12/13.
La «Grande Pomme» a séduit pas moins de 54,3 millions de visiteurs en 2013.
En termes de visiteurs, les résultats estimés de New York City pour 2013 se montent donc à 54,3 millions, soit un nouveau record absolu. Depuis 2002, la ville a vu sa fréquentation grimper annuellement de 20 millions. La plus grande partie est à attribuer aux visiteurs américains avec 42,9 millions.
La part de touristes internationaux atteint tout de même 11,4 millions.
Pour cette même année 2013, près de 30 millions de nuitées ont été réservées. Le taux d’occupation moyen des hôtels devrait atteindre 87,8%. Le tarif journalier moyen pour une chambre a gagné 4 points et s’est établi à $296. Pour 2014, les développements hôteliers devraient permettre de compter avec un total de 100’000 chambres d’ici la fin de l’année.
Cette croissance devrait se traduire par des retombées économiques avoisinant les $58,7 milliards. Le nombre de places de travail dans les secteurs des loisirs, de l’hôtellerie et de la gastronomie est estimé à 370’000. En conclusion, l’objectif de 55 millions de visiteurs pour 2015 devrait être atteint une année plus tôt que prévu.
www.pagtour.net 12/12/13.